La chambre d'accusation a rejeté, jeudi 9 mai 2024, la demande de libération du journaliste Mohamed Boughalleb. Le ministère public a décidé d'émettre, à la date du 26 mars 2024, un premier mandat de dépôt à l'encontre du journaliste. Le 5 avril 2024, un nouveau mandat de dépôt a été émis à son encontre. Mohamed Boughalleb est accusé d'atteinte à autrui via les réseaux de télécommunication et imputation de faits non avérés à un fonctionnaire public. Il a été condamné, mercredi 17 avril 2024, en première instance à six mois de prison avec exécution immédiate.