Dans une déclaration donnée, ce vendredi 28 novembre 2014, à l'agence TAP, le lieutenant-colonel Belhassan Oueslati, porte-parole du ministère de la Défense, a indiqué que le meurtre du caporal de la caserne de Zaârour à Bizerte n'est pas survenu à la suite d'un acte terroriste, mais qu'il s'agit d'un crime de droit commun. On rappelle que le soldat a été tué dans la nuit du jeudi au vendredi 28 novembre alors qu'il montait la garde à l'extérieur de la caserne.