Le président de l'Instance nationale de lutte contre la corruption, Chawki Tabib a affirmé que les partis ayant gouverné après la révolution n'ont pas essayé de mettre fin au système de corruption, soulignant que certains en ont profité, ce qui expliquerait leur silence. En marge d'une conférence tenue, aujourd'hui, jeudi 2 mars 2017, Me. Tabib a considéré qu'il était plus judicieux de faire face aux opérations de contrebande des médicaments et des produits subventionnés vers la Lybie que d'avoir recours aux emprunts, d'autant plus que la valeur de ces opérations s'élève à 1300 millions de dinars.