Walid Phares, ancien conseiller de Donald Trump lors de sa campagne électorale en 2016, s'est interrogé dans la soirée de vendredi 14 avril 2017, sur le tollé de réactions suscitées par son récent post sur les réseaux sociaux. Un post dans lequel il évoquait « des tentatives en cours des islamistes tunisiens de renverser le gouvernement laïc, démocratiquement élu à Tunis ». L'expert libanais en terrorisme et Moyen-Orient, a fait part de son étonnement de voir « un petit post Facebook susciter un déluge de commentaires, dont certains hystériques ». « Ce post, qui n'apporte aucune information qui n'aurait été trouvée en ligne, a dû toucher une corde. Cette réaction massive à un petit paragraphe montre que la question est bien plus profonde… Pour éclaircir certaines les choses, nous tenons à préciser, nous nous sommes référés à des avis d'experts dans notre dernier post et non au gouvernement. Aussi par le mot « renversement » nous ne parlions pas d'un « coup » mais d'efforts tels que la mobilisation dans la rue qui ont pour objectif de faire tomber le gouvernement » a-t-il ajouté.