Le directeur du département Moyen-Orient, Afrique du Nord et Asie Centrale au sein du FMI, Jihad Azour, a affirmé ce vendredi 21 avril 2017, que le Fonds estime qu'il n'y a pas une nécessité de déprécier la valeur du dinar à l'heure actuelle. Il a expliqué, dans une déclaration à la TAP, que la surévaluation du dinar est estimée à 10% selon les standards de calcul du taux de change et que cela ne justifierait pas une dépréciation de la valeur dinar.
M. Azour a enfin précisé que le FMI n'a pas recommandé à ce que le taux de change du dinar soit baissé mais plutôt une plus grande flexibilité de la monnaie nationale qui permette de faire face au déficit commercial et de la balance des paiements.