Rafik Abdessalem, ex-ministre des Affaires étrangères et gendre du leader du mouvement Ennahdha Rached Ghannouchi, a insisté sur le fait que le gouvernement actuel n'a pas échoué : « Si nous acceptons son remplacement, ça ne sera pas à cause de son échec mais ça sera plutôt pour répondre aux nécessités de l'étape actuelle ». Lors de son passage jeudi soir 29 août 2013 sur Al Wataniya 1, Rafik Abdessalem a souligné que l'adoption de la Constitution, la formation de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) et l'adoption de la loi électorale devraient précéder le remplacement du gouvernement.