Walid Louguini, porte-parole du ministère de l'Intérieur, a annoncé, hier, mercredi 16 septembre 2015, que quelque 110 membres des forces de l'ordre, appartenant à différents corps de la police ont été démis de leurs fonctions en raison de forts soupçons quant à leurs liens avec des groupes extrémistes. Cette vaste opération, a-t-il annoncé, s'inscrit dans le cadre de la lutte du gouvernement contre le terrorisme. « Leur limogeage est lié, après enquêtes, à des soupçons très sérieux d'appartenance à des organisations terroristes ou à leur sympathie pour de tels mouvements » a déclaré M. Louguini. Selon lui, ces enquêtes ont démarré depuis le début de l'année et suivent encore leurs cours. Le responsable a, cependant, nié l'existence d'une police parallèle imputant l'origine des rumeurs relatives à ces faits aux médias et à plusieurs responsables syndicaux qui avaient accusé le parti islamiste au pouvoir d'avoir mis en place un appareil de police parallèle à son service. M. BELLAKHAL
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