Les membres du comité syndical provisoire à la direction générale de la sécurité du chef de l'Etat et des personnalités officielles ont réitéré leur revendication de l'autonomie administrative et financière de leur direction générale, et la préservation de leurs acquis (ressources humaines, mutuelle et services communs, etc.). Dans un communiqué diffusé, hier, le comité syndical provisoire estime nécessaire que la direction générale de la sécurité du chef de l'Etat soit une structure relevant directement du ministre de l'Intérieur, à l'instar de la direction générale de la Garde nationale ou de l'office national de la Protection civile, et de ne pas impliquer ses agents dans les renforts des autres services de sécurité. Ils ont, dans ce sens, exprimé l'intention, en cas d'une réponse négative à leurs revendications, de porter un brassard rouge, à partir du 20 mai.