Dénouement heureux (enfin!) de la crise qui a sévi au CSS durant les quatre derniers mois concernant le renouvellement du bureau directeur. C'est Moncef Sellami qui a présenté officiellement mardi dernier, date butoir pour le dépôt des candidatures, une liste comprenant douze membres pour prendre la relève, ce qui constitue aux yeux de tous ceux qui appartiennent de près ou de loin au club la solution idoine de la crise de succession. Celle-ci n'est en fait que le prolongement de la situation chaotique dans laquelle se débat la trésorerie du club depuis des mois. Il a fallu trouver d'abord des solutions à cet état de fait à travers le train de mesures arrêtées par le haut comité de soutien, l'instance suprême du club, pour décanter la situation. Moncef Sellami a pris son courage à deux mains pour se présenter comme candidat à la présidence, soutenu par d'autres visages de proue du paysage sportif sudiste. La liste comprend en effet les candidatures suivantes : - Imed M'seddi, comme premier vice-président - Khaled Mabrouk, secrétaire général - Habib Hammami, trésorier - Zouheir Kharrat, président de la section de football - Chokri Cheikhrouhou, responsable des catégories des jeunes footballeurs - Bassem Ben Romdhane, président de la section volley-ball - M'hadheb Chaouachi, président de la section basket-ball féminin - Zouheir Ghattassi, président de la section des sports individuels. - Sami Hachicha, Hakim Jarraya et Hamadi Maâlla, membres. Il convient de préciser que la tenue de l'assemblée générale élective est fixée pour le samedi 1er octobre. Il lui revient d'entériner cette liste, la seule présentée dans les délais réglementaires. Les supporters face à l'embarras du choix ! Deux candidatures pour la présidence du comité des supporters ont été enregistrées, et ce, contrairement au bureau directeur. Les postulants ont pour noms Fathi Ben Hassen (plus connu sous le pseudonyme de «Louizi») et Jamel Aloulou. Il revient à l'assemblée générale élective du comité des supporters, prévue le 26 septembre à 11h00, de trancher la question de la présidence qui reste indécise.