Bon nombre de participants étrangers se sont fait le relais des "Foulées du Megara" dans leurs pays respectifs et dans de nombreuses manifestations internationales. Après s'être imposées comme une course de référence en Tunisie, "Les Foulées du Megara" ont pu accéder à un palier supérieur en se dotant d'une vocation et d'une dimension internationale. Autant elles grandissent, autant elles se font l'écho, notamment par l'intermédiaire de journaux et de revues spécialisées en la matière, d'un rendez-vous et d'une manifestation pas comme les autres. Il faut dire qu'en réussissant à concilier à la fois le sport, la culture, le tourisme, la convivialité citoyenne et les échanges multi-ethniques, les organisateurs, et tout particulièrement le président de l'Association Megara pour la Jeunesse, Riadh Ben Zazia, sont parvenus à entretenir des liens étroits avec plusieurs partenaires étrangers. D'ailleurs et en vue de développer l'attrait de cette course et son rayonnement international, des contacts fructueux ont été entrepris en vue d'assurer la présence à ce semi-marathon de La Marsa de coureurs de différentes nationalités et de divers horizons. Résultat : bon nombre de participants étrangers se sont fait le relais des "Foulées du Megara" dans leurs pays respectifs et dans de nombreuses manifestations internationales. Avec le même élan, des journalistes étrangers ont couvert la course en Tunisie dans ses différentes éditions et quelque temps après ils ne cessent de l'évoquer dans leurs organes de presse. Tel le cas de la revue spécialisée Jogging International du mois de juin 2010. C'est ainsi que dans sa rubrique "Le journal des courses", elle consacre une page entière aux "Foulées du Megara" qu'elle qualifie de "semi-marathon fort sympathique qui fait oublier l'hiver et qui prépare comme il se doit les courses de printemps". Le cas aussi de la revue spécialisée Running, également du mois de juin 2010, qui ne manque pas d'éloges sur cette manifestation et qui considère "Les foulées du Megara" comme une belle opportunité pour les joggeurs pour, nous citons :"sortir de l'hiver en douceur en joignant l'utile à l'agréable. C'est-à-dire le sport, mais aussi la culture et le tourisme...". Et l'auteur de l'article d'ajouter : "Vous irez sur les traces d'Hannibal, à Carthage, à Sidi Bou Saïd, à Hammamet, ou encore dans les souks de Tunis. Une belle opportunité de thalasso est également à ne pas manquer". La passion n'a jamais de prix... Une pareille sollicitude nous incite à affirmer que la passion n'a jamais de prix, ou encore de semblable. Ceux qui s'y trouvent pour une raison ou pour une autre impliqués, ont comme une sorte de déterminisme qui impose un mode de comportement spécial. Ici et là, il y a toujours un défi à relever, un obstacle à franchir. Et ça ne devrait jamais finir... Le semi-marathon de La Marsa, tel que ses amateurs, qu'ils soient Tunisiens ou étrangers, ont appris à le vivre a ceci de particulier. Il suscite l'effort, il interpelle l'envie de se surpasser, de se donner à fond. Il fait appel à l'esprit de sacrifice, de don de soi. Mais, le mérite de ses hommes, et de ses femmes aussi, qui en font du marathon une véritable raison d'être, ne s'arrête pas là. C'est aussi une vocation, une morale, un mode de vie. Plus qu'un comportement et une attitude. Les organisateurs des "Foulées du Megara" ont appris à rebondir à chaque fois qu'il y a un défi à relever. Rien ne peut, ne doit pour ainsi dire, les arrêter, rien ne devrait aussi les empêcher de se lancer de nouveau dans le bain d'une nouvelle course et tout ce qui s'ensuit...Un nouveau rendez-vous est pris pour le 27 mars 2011...