Les dernières nouvelles sont révélatrices et annonciatrices de la fin des problèmes du club Au Club Africain, chaque jour qui passe apporte son lot de surprises et de nouvelles fraîches. Hier, on débattait (le comité des sages) du nom du futur président du club. Aujourd'hui, le nom de celui qui ne faisait pas l'unanimité refait pourtant surface. Jamel Atrous, qui postule au poste depuis bien des années, semble avoir de nouveau l'aval des anciens présidents clubistes. Est-ce la fin du calvaire? Pour l'école allemande? Nous osons l'espérer, car cette situation de remue-ménage a assez duré. Il est donc temps de remettre de l'ordre dans le maison, de solutionner les problèmes et de se retremper dans le labeur. La reprise des entraînements a été fixée au 10 juin, partant du fait que le coup d'envoi du championnat est programmé pour le 24 juillet. Juste le temps nécessaire pour que l'équipe soit compétitive à l'aube des trois coups. Il y a des indices qui ne trompent pas. Si nous avons de nouveau fait allusion à Jamel Atrous pour la présidence du club, c'est parce que ce dernier s'est mis, selon une source digne de foi, à la recherche d'un entraîneur. Il s'est vu proposer, à travers un manager, les services d'un entraîneur allemand. Téo Pokier dont il s'agit serait intéressé par une expérience au Club Africain. Ce dernier était le coéquipier de Néjib Ghommidh quand celui-ci portait les couleurs du club saoudien d'Al Ittihad Jeddah.Téo Pokier s'est reconverti en entraîneur une fois sa carrière de joueur achevée. Il a entraîné Ittihad Jeddah, son ancien club, mais a fait son apparition en Egypte où il a guidé les rênes d'Al Ismaïli à deux reprises. Toujours au pays des Pharaons, Téo Pokier s'est occupé des destinées techniques d'Al Ittihad d'Alexandrie. Sera-t-il le nouvel entraîneur du Club Africain? Les prochains jours nous le diront. Pour peu que la question de la présidence du club trouve son épilogue et que les rouages se remettent en marche. Il en est vraiment temps. Il y va aussi de l'intérêt de tous au Club Africain. Pour que la nouvelle saison ne ressemble pas à sa devancière.