Le porte-parole du ministère de la Défense, le lieutenant-colonel, Belhassen Oueslati, a indiqué à l'Agence TAP que le meurtre du caporal de la caserne de Zaârour ne relève pas d'un acte terroriste. Il s'agit d'un crime de droit commun entre deux militaires pour des raisons personnelles. Pour camoufler son crime, le meurtrier a fait croire que la victime a été attaquée par des éléments terroristes. Mais l'enquête menée a permis de dévoiler toute la vérité sur cette affaire.