Rideau, stop , terminus tout le monde descend! La glorieuse citadelle de la " Chabiba" qui n'a fait que chanceler et tanguer dangereusement depuis la prise du " pouvoir" de Mourad Belakhal bascule inéluctablement vers les abimes , vers le gouffre. Une dégringolade vertigineuse conséquente du " one man show" d'un président ignorant tout des (abc) de gérer un club sportif de l'envergure de la JSK. Ayant fait le vide autour de lui en ignorant ostensiblement et avec superbe les véritables pionniers de la boite: Abderrazak Yazid, Fateh Alouini, Hadhili Fayala, Mohamed Atallah, Hamadi Mestiri, Abderrazak Yazid, Rachid Meftah, Abderrazak Trad, Fathi Ghedira, Elyes Ben Hassine, etc , il a signé d'emblée des deux mains son échec annoncé. Du coup, fermeture des vannes de toutes parts avec des caisses rachitiques en dépit de "ses" appels pathétiques et de ceux pressants du gouverneur de voler à la rescousse de la JSK. Démissions en cascade Tel un château de cartes, l'édifice menace ruines. Démission de Ridha Jeddy déjà furieux et ne parvenant pas à " gober" les reproches véhéments du président d'avoir titularisé Mohamed Ali Ragoubi contre l'ESM ( 2-2) alors qu'il avait signé un pré-contrat avec le CSS. A son retour au Ali Zouaoui, Ridha Jeddy constata qu'aucun recrutement n'a été effectué! Cette démission fut suivie immédiatement suivie par celle en bloc de la commission de sauvetage qui a été derrière l'engagement de l'entraineur. Son président Bechir Lahmar faisant imputer l'entière responsabilité de cette impasse à Mourad Belakhal qui a tout fait pour mettre le bâton dans les roues de cette commission en poussant insidieusement et par des moyens détournés Ridha Jeddy vers la porte de sortie. Un avenir sombre Alors que toutes les autres écuries menacées par le spectre de la relégation directe s'efforcent par tous les moyens à se renforcer et à consolider leurs assises pour échapper au purgatoire, l'expectative voire le laxisme et l'insouciance sont le maitre mot du côté de Kairouan. Avec deux difficiles rencontres à disputer l'ESZ au Ali Zouaoui et l'USBG à Ben Guerdane, on voit mal comment la " Chabiba" pourrait se dépêtrer de ce bourbier et de cette nasse où elle s'est malencontreusement enlisée faute à un président qui s'est d'entrée de jeu emmêlé les pinceaux avec un cavalier seul se révélant à l'arrivée des plus néfastes pour le club. Si ce n'est grandement regrettable pour ce prestigieux bastion du sport qui a produit les Ouada, Tayeche, Laabidi, Badra, Derbal, Chermiti, Jabbès, etc !