Certains gérants d'espaces de loisir ont une drôle de façon de concevoir la fiesta. Ainsi, le monde du clubbing devient plus sélect que jamais. Il fut un temps où pour entrer en boîte danser, jusqu'à l'aube, il fallait être accompagné d'une jolie fille (ou juste qui présente bien), être bien sapé, être connu (même très connu surtout dans le cercle des nocturnes et des fêtards) et, bien sûr, avoir du fric à dépenser sans compter. De nos jours, pour réserver une table, voire un coin d'où l'on peut danser sans aller en piste (d'ailleurs le concept de la piste est caduc)... il faut être un soulard de première ! Je m'explique, les gérants des "ex-nights" exigent l'achat préalable (avant de fouler l'endroit) d'une ou deux bouteilles (selon l'affluence, le nom du DJ et le jour)... Et si des fêtards Sportifs veulent squatter les danse-floors, ça sera très dur. A moins de "resquiller" avec des potes au nez rouge ou d'être pote avec au moins cinq portiers !