Nabeul vivra les 30 et 31 janvier au rythme des nouvelles technologies de l'information et de la communication. Elle abritera le festival international du webdesign (Wifi 2010) spécialisé dans la création des sites web. ------------------------------------------ Changement climatique Le technopôle de Bordj Cédria et la cité des sciences de Tunis organisent aujourd'hui 7 janvier une conférence sur le changement climatique et variation du cycle de l'eau qui sera animée par le Pr Toshiko Koike de l'université de Tokyo --------------------------------------- Informatique pour enfants Le centre régional de l'informatique pour l'enfant de Nabeul organise cette semaine une session de formation en informatique Multimédia et Internet pour les enfants adeptes du numérique -------------------------------------- Extension du réseau des eaux pluviales Le chantier d'extension du réseau des eaux pluviales a démarré à Nabeul. Ce qui va sans doute soulager les habitants de Nabeul KB --------------------------------------------- Bizerte: une plaie « nommée » ex-école de la rue d'Alger ? Parmi les points noirs du centre-ville de la commune de Bizerte, c'est l'état alarmant de délabrement du bâtiment de l'ex-école primaire de la rue d'Alger qui représente un danger potentiel pour les passants située en plein centre-ville devant le dispensaire 'Aziza Othmana' et le centre Télécom, à quelque encablures de l'hôtel de ville. Fermée à la scolarisation et au savoir depuis des années déjà pour des raisons de salubrité des lieux, l'ex-école rendue friable par la pluie, avec des parties détachées par le vent, ces balcons, visiblement, ne tiendront pas longtemps...En tout cas, malgré les inquiétudes des habitants, l'unique mesure mise actuellement à son sujet n'a trait qu'à la protection des trottoirs avoisinants par de vulgaires barrières qu'on déplace parfois à tout bout de champ. Et là, une question s'impose, pourquoi ce laxisme et attendre jusqu'où une catastrophe survienne. Il est grand temps de réagir pour solutionner cette plaie au plus vite par toutes les parties concernées. L.M. ----------------------------------------------------- Déferlement accru de vaches ? Vénérées en Inde, les vaches et leurs génisses semblent aussi révérées dans la capitale du nord, puisque l'envahisseme des artères des quartiers de la ville de Bizerte par des meutes de vaches en manquent de nourriture et qui ravagent sur leurs passages les conteneurs d'ordures pour se goinfrer de papiers, de sacs plastiques et autres déchets, ainsi que les espaces verts pour ingurgiter gazon et verdure, est un spectacle ahurissant mais quotidien pour la population locale complètement désorientée par l'accroissement alarmant de ce fléau qui est devenu un réel danger non seulement face à une circulation qui s'intensifie chaque jour mais aussi pour l'hygiène et la santé du citoyen à travers la consommation du lait commercialisé que donnent ces vaches. Enfin, il faut avouer que cette situation fort inquiétante qui préoccupe certes les responsables de la commune de Bizerte dont les nombreuses décisions de fermetures des écuries et étables, érigées dans les quartiers urbains ont été malheureusement déjouées à maintes reprises par les vachers qui ouvrent d'autres portes adjacentes d'accès. Il en fut de même pour les quelques vaches réquisitionnées difficilement par la police municipale mais vite libérée de la fourrière municipale... En tous cas espérant que les autorités locales trouvent une solution idoine pour éradiquer ce fléau ravageur. L. M. --------------------------------------------------------------- Benguerdane : activité commerciale au ralenti Ces dernières semaines, le visiteur du «Souk Maghrébin» de la ville de Benguerdane peut aisément remarquer la baisse de l'activité commerciale dans ce gros marché bien connu chez le Tunisien moyen et même aisé pour ses prix abordables. Durant les années passées , notamment lors des vacances scolaires , il était difficile de trouver une toute petite place où garer son véhicule tellement le nombre de voitures , de bus aux alentours était inimaginable ; des Tunisiens , mais aussi des Algériens , petits commerçants et particuliers affluaient quotidiennement par milliers sur ce souk où ils pouvaient se procurer tout ce dont ils avaient besoin à des coûts sans commune comparaison avec ceux affichés sur les vitrines de nos supérettes , magasins ou grandes surfaces. Le commerce parallèle et déloyal est mis en cause par les vendeurs de ce souk. «Nos clients nous ont délaissés. pour d'autres lieux où ils ne paient pas de taxe, nous dira un locataire d'un point de vente ; le commerce parallèle nuit énormément à nos recettes ; il est temps que les autorités compétentes interviennent et y mettent fin» H.O. ------------------------------------------------------------ Hammam-Lif : L'avenue Habib Bourguiba relookée L'avenue Habib Bourguiba constitue à n'en point douter le nerf de la ville. Seulement voilà, ses trottoirs sont squattés par les propriétaires de ces commerces qui sans autorisation aucune, ont débordé sur les trottoirs en y érigeant des expansions couvertes à leur guise : de vastes cabines en aluminium et verre fumé obligeant les piétons à emprunter l'asphalte pour y circuler. Finalement et quoique tardivement, la décision est prise par le Conseil municipal pour enlever tout ce qui déborde comme appendices, expansions, porches, tentes, portiques voire kiosques. Pourquoi avoir fermé les yeux sur des dépassements des mois durant ? Cafés et restaurants seront cependant autorisés à implanter des parasols géants devant leur commerce pour abriter leurs clients exactement à l'instar de ce qui se pratique à l'Avenue Habib Bourguiba de la capitale. Aucune autre forme de protection ne sera plus admise. Par ailleurs, l'on s'achemine vers la réfection du dallage des trottoirs de cette artère principale et névralgique de la cité. -------------------------------------------------------------- Le souk hebdomadaire paralyse la Cité Mohamed Ali Le calvaire des habitants de la cité Mohamed Ali à la sortie sud de la ville est sans cesse renouvelé tous les samedis. En effet, le souk hebdomadaire de la ville a élu domicile au sein de cette cité. Toutes ses artères, toutes ses ruelles sont prises d'assaut par les commerçants et marchands ambulants dès le vendredi soir. D'où la quasi impossibilité des riverains de circuler librement dans leur quartier en dehors des tracas causés par les hauts parleurs et les voix gutturales des vendeurs vantant les mérites et avantages de leurs marchandises. La cité étant totalement inaccessible aux véhicules, ni médecins, ni ambulances, ni sapeurs pompiers, ni wagon mortuaire (samedi 2/1/2010) ne peuvent y accéder. Pire, on nous affirme que les femmes à terme (sur le point d'accoucher) ne passent jamais le samedi chez elles de peur de ne pouvoir rejoindre l'hôpital si jamais le travail se déclenchait ces jours de souk !). Même la GP1, un axe routier très fréquenté, est envahie par les exposants sans oublier les centaines de véhicules stationnant même en double position au mépris de toutes les règles les plus élémentaires de sécurité ! Pourtant en remontant de quelque 500 mètres en amont, une très grande place est vacante et de nature à « abriter » le souk sans le moindre désagrément pour qui que ce soit ! Mais on nous dit qu'elle appartient à une coopérative de la place ; s'entendre avec ses propriétaires moyennant finances n'est guère irréalisable selon les habitants de la cité redoutant comme de la peste désormais les samedis pour les désagréments qu'ils y endurent !