Atteinte d'une balle en pleine tête, la femme tuée près de chez elle était en plein divorce et avait porté plainte pour harcèlement contre son mari. Aujourd'hui sous les verrous, il est le principal suspect. Selon les gendarmes, interrogés par le quotidien régional de Bretagne Le Télégramme, rien ne permettait de prévoir le drame. Sylvie L., tuée mercredi matin en plein centre-ville de Guidel, dans le Morbihan, avait, assure le journal, déposé une plainte pour harcèlement contre son mari. Tous deux étaient en pleine procédure de divorce, et leurs relations étaient très mauvaises. Aujourd'hui, ce même mari, qui a été arrêté, est soupçonné d'avoir tué Sylvie de deux coups de fusil tirés à bout portant alors qu'elle se trouvait devant chez elle. Selon les premiers éléments de l'enquête, le drame s'est produit mercredi peu avant 8 heures, dans une ruelle. Sylvie L., qui avait quitté le domicile familial début janvier, avait été relogée là, dans un petit appartement, par les services sociaux de la ville, selon Le Télégramme. Atteinte en pleine tête, Sylvie L. était morte à l'arrivée des secours. Son agresseur s'était enfui à pied, en cachant un fusil sous son manteau. Les gendarmes mobilisaient aussitôt un important dispositif de recherche pour le retrouver, incluant un hélicoptère et plusieurs patrouilles. D'emblée, ils se mettaient en quête du mari de la victime et plaçaient les enfants du couple sous protection. L'homme devait être retrouvé vers 11 heures, dans un cimetière, et arrêté sans résistance, selon Le Télégramme ; quant à l'arme qui, selon toute probabilité, a servi au crime, elle était découverte plus tard, en morceaux, sur la route entre Baud et Pontivy. Les gendarmes pensent avoir reconstitué le scénario de l'agression mortelle : "Il lui aurait demandé de descendre de son appartement puis lui aurait intimé l'ordre de monter à bord de son véhicule. Face à son refus, il l'aurait abattue", raconte, dans les colonnes du Télégramme, le colonel Michel Coat. L'homme, qui faisait l'objet d'un suivi psychiatrique, avait été entendu il y a deux jours à peine par les gendarmes dans le cadre de la plainte pour harcèlement déposée par sa femme. ------------------------------------------------ Amar, 12 ans, abattu à Lyon : Une mère de famille abattue devant sa porte Atteinte d'une balle en pleine tête, la femme tuée près de chez elle était en plein divorce et avait porté plainte pour harcèlement contre son mari. Aujourd'hui sous les verrous, il est le principal suspect. Selon les gendarmes, interrogés par le quotidien régional de Bretagne Le Télégramme, rien ne permettait de prévoir le drame. Sylvie L., tuée mercredi matin en plein centre-ville de Guidel, dans le Morbihan, avait, assure le journal, déposé une plainte pour harcèlement contre son mari. Tous deux étaient en pleine procédure de divorce, et leurs relations étaient très mauvaises. Aujourd'hui, ce même mari, qui a été arrêté, est soupçonné d'avoir tué Sylvie de deux coups de fusil tirés à bout portant alors qu'elle se trouvait devant chez elle. Selon les premiers éléments de l'enquête, le drame s'est produit mercredi peu avant 8 heures, dans une ruelle. Sylvie L., qui avait quitté le domicile familial début janvier, avait été relogée là, dans un petit appartement, par les services sociaux de la ville, selon Le Télégramme. Atteinte en pleine tête, Sylvie L. était morte à l'arrivée des secours. Son agresseur s'était enfui à pied, en cachant un fusil sous son manteau. Les gendarmes mobilisaient aussitôt un important dispositif de recherche pour le retrouver, incluant un hélicoptère et plusieurs patrouilles. D'emblée, ils se mettaient en quête du mari de la victime et plaçaient les enfants du couple sous protection. L'homme devait être retrouvé vers 11 heures, dans un cimetière, et arrêté sans résistance, selon Le Télégramme ; quant à l'arme qui, selon toute probabilité, a servi au crime, elle était découverte plus tard, en morceaux, sur la route entre Baud et Pontivy. Les gendarmes pensent avoir reconstitué le scénario de l'agression mortelle : "Il lui aurait demandé de descendre de son appartement puis lui aurait intimé l'ordre de monter à bord de son véhicule. Face à son refus, il l'aurait abattue", raconte, dans les colonnes du Télégramme, le colonel Michel Coat. L'homme, qui faisait l'objet d'un suivi psychiatrique, avait été entendu il y a deux jours à peine par les gendarmes dans le cadre de la plainte pour harcèlement déposée par sa femme. ------------------------------------------------ Un exorciste d'arbres arrêté L'exorciste d'arbres a enfin été arrêté. Depuis près de trois semaines, les jardiniers du Champ-de-Mars, dans la capitale française, retrouvaient des arbres peints, des clous plantés dans l'écorce. Finalement, lorsqu'ils ont vu que ces actes se répétaient, ils ont prévenu la protection de la ville de Paris qui a alors surveillé l'endroit, rapporte des médias. L'homme a été surpris en pleine nuit en train de dessiner de mystérieuses figures sur le tronc d'un arbre. Interrompu dans son rituel, il a alors expliqué qu'il était exorciste et qu'il chassait là les forces démoniaques des arbres. L'homme de 38 ans a été arrêté. Après étude de son casier judiciaire, il s'est révélé qu'il avait déjà été arrêté pour des faits similaires et avait séjourné en hôpital psychiatrique. A Malin, il aurait ainsi "exorcisé" quelques centaines d'arbres, enlevant leur écorce à la machette et au marteau.