L'Espérance de Tunis a repris lundi les entraînements en prévision de son déplacement au Zimbabwe pour y disputer son dernier match entrant dans le cadre de la Ligue africaine. Le complexe Hassan Belkhodja reste le lieu de la préparation mais avec un changement dans l'horaire du coup d'envoi des entraînements : 16h30. Dernière séance cet après-midi sachant que le départ pour Harare aura lieu demain matin à partir de 9 heures. Deux émissaires à Harare Comme pour chaque déplacement hors du pays, deux émissaires se rendent à chaque occasion sur les lieux de déroulement de la rencontre. Walid Ben Abdallah et Khemaïes Dridi sont sur place depuis lundi pour préparer le séjour de la délégation de l'Espérance supporters y compris. D'ailleurs, il n'y a pas que cette précaution qui est prise, d'autres le sont comme celle qui consiste à s'approvisionner en aliments de toutes sortes, eau minérale comprise, pour pallier à toute désagréable surprise. Dix heures de vol L'Espérance empruntera comme d'habitude un vol spécial pour gagner Harare la capitale du Zimbabwe. Ce sera cette fois ci pour près de dix heures dans les airs soit plus qu'il n'en a été lors du déplacement de Lubumbashi. Les « Sang et Or » vont se limiter à une séance de décrassage une fois arrivés à destination et à une reconnaissance de l'état de la pelouse qui abritera la match de samedi prochain. Le retour à Tunis aura lieu quelques petites heures après le coup de sifflet final. Gare au deuxième avertissement ! Le staff technique va pouvoir disposer de la totalité de ses joueurs. L'unique point d'interrogation concerne Bouazzi dont la convalescence tire à sa fin. Reste à présent à savoir si le joueur sera à 100% opérationnel ou plutôt compétitif le jour de la rencontre. Wajdi Bouazzi fera le déplacement avec le reste de ses co-équipiers, la décision de sa participation ou njon au match sera prise sur place. Une préoccupation, celle concernant l'éventuel second avertissement qui pèse sur plusieurs parmi les joueurs incontournables de l'effectif dont justement Naouara, Darragi et Michael. Une menace qui risque d'acculer ces joueurs à ne pas s'engager totalement pour éviter une probable suspension.