La police de la Cité Ezzahrouni, dans les environs ouest de la Capitale, a réussi à arrêter, dernièrement, un dangereux trafiquant de drogues, ayant en sa possession 7 mille (sept mille) comprimés et pastilles de stupéfiants de toutes sortes, de l'espèce appelée ‘'zatla'' dans le milieu, des médicaments psychotropes à effet euphorique détournés de leur usage médical. D'après les informations que nous avons pu recueillir à ce sujet, le dealer faisait l'objet, déjà, de plusieurs mandats de recherches lorsque les agents de l'ordre reçurent une communication téléphonique, les informant que le recherché s'apprêtait à écouler, sur le marché, une importante quantité de stupéfiants. Le jour indiqué, ils lui tendirent une embuscade et se lancèrent à sa poursuite avant de l'arrêter en flagrant délit, avec en sa possession la quantité de drogues saisie. Il fut conduit au poste de police où un procès verbal fut dressé à son encontre, en attendant d'être déféré devant la justice pour répondre de ses actes délictieux Violemment agressée et délestée de sa voiture luxueuse Pour voler une voiture luxueuse, un homme de trente ans est allé, dernièrement, jusqu'à commettre une série de graves délits afin de s'emparer de ses clefs ; mais il ne put en jouir longtemps, car il fut arrêté aussitôt par la police. Le vol eut lieu à El Mnihla, à la sortie nord de Tunis, sur la route de Bizerte. Selon les premières informations recueillis à ce propos, la voiture appartenait à une dame respectable qui vivait seule dans sa maison, à El Mnihla, tous ses fils se trouvant à l'étranger. Le voleur la suivait discrètement, depuis quelques temps, nourrissant la vile intention de la déposséder de sa voiture luxueuse. Quand, le jour des faits, il pensa mener à bien son lâche coup, il décida de passer à l'action. Il pénétra avec effraction dans la maison de la dame, l'attrapa sans ménagement, l'agressa violemment, puis il la ligota et s'empara des clefs de la voiture par la force, avant de gagner le garage où elle était garée. Usant des clefs, il ouvrit la voiture, s'y installa confortablement, comme si de rien n'était, mit le moteur en marche, puis démarra et disparut dans la nature. Le lendemain, la dame réussit à se libérer de ses liens et alla tout droit au poste de police le plus proche pour porter plainte contre son agresseur et voleur. Elle donna un signalement précis de lui aux agents de l'ordre qui purent, ainsi, l'arrêter. Il avoua ses crimes aux enquêteurs qui les consignèrent dans le procès verbal établi à son encontre, avant de transmettre son dossier à la justice pour être jugé.