Il est regrettable de constater que dans la localité du Bardo, il y a des Stadistes qui ont des ‘oursins' dans les poches, c'est-à-dire qu'ils ont du mal à sortir de leurs poches, chacun comme il peut, un peu de pognon pour aider le club qui est leur patrimoine, le Stade Tunisien. Tout le monde critique tout le monde, chaque soi-disant proche croit détenir la vérité, mais, ceux qui en temps normal s'affichent un peu partout, et, prétendent que le ST leur appartient, qui revendiquent, qui critiquent, qui croient détenir des avis autorisés au nom de cette fameuse étiquette ‘enfants du club, ont, en ce temps de crise tous disparu de la circulation. Il est clair qu'au niveau du bureau directeur on n'a un peu vécu dans la feinte, dans la simulation, bref, une kyrielle de coquilles ont été commises, mais, cela n'est une raison pour que ses prétendus enfants prennent plaisir à regarder leur club s'engluer de plus en plus. Aujourd'hui, nous manquons de mots pour vous dépeindre la situation qui prévaut du côté du Bardo. Le feuilleton de l'impuissance à solutionner définitivement les problèmes de carence financière semble être interminable. Pour le moment, le mouvement de grève entamé mardi dernier avait été levé, les joueurs ayant rechaussé les crampons hier, parce que, Anouar Haddad (un ex-responsable aujourd'hui à la FTF) a tendu la main à son club. Il a avancé de son propre compte (que tout soit clair) un bon pactole à son ancien club, pour dépanner le football, mais, a-t-on appris, à peine a-t-on su le report de la reprise du championnat, que le bureau directeur pense répartir le dit prêt, sur toutes les autres sections (hand, basket…) Comme vous devez le constater, le topo de la situation au Stade Tunisien, est encore flou. Cette solution n'est que provisoire, et, il faut s'attendre à ce que le club du Bardo replonge dans les mêmes difficultés dans quelques jours. De toutes les façons, les joueurs ont sauté la séance d'entraînement d'hier.