Ces vers sont de Mutannabbi, un grand poète arabe du 10ième siècle, qui était imbu de sa personne, au point de devenir insolent, notamment à l'égard de Seïf Addouala gouvernant de la Syrie, (Bilad Acham à l'époque) . Il lui avait pourtant voué une estime particulière. Mais Seïf Addaoula, n'exauça pas ses vœux et il s'est vu de ce fait contraint de quitter la Syrie pour l'Egypte où il subit le même sort avec le gouvernant d'Egypte, Kafour Al Ikhchidi (Chef de l'Etat Ekhchidien).
Il a écrit plusieurs poèmes dans lesquels il déplorait sa situation et pleurait son sort.
Ces deux vers, devenus maximes connues à travers tout le monde arabe, sont tirés de l'un de ses poèmes.