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Ridha Chalghoum: Le rubis qui brille de mille feux
Publié dans L'expert le 21 - 07 - 2016

En ces temps de disette où tout le monde a la nostalgie des temps passés pour que la Tunisie retrouve son aura du passé, certaines compétences demeurent dans l'ombre, que ce soit par punition pour avoir servi le pays sous l'ancien régime ou parce que certains perturbations avaient essayé de leur coller des accusations factices et malveillantes pour les écarter de la scène, tout en sachant que ces personnalités n'avaient voulu et cherché qu'à servir la Tunisie et de faire profiter le pays de leur expérience et de leur savoir-faire.
Le pays regorge de compétences et si on prend ici l'exemple de Ridha Chalghoum, c'est pour démontrer que, pour n'importe quel régime, l'important est de compter sur des compétences et des hommes honorables, quelle que soit leur appartenance politique.
Ridha Chalghoum était un gauchiste modéré, mais qui avait répondu à l'appel pour servir la patrie, bien que sous un régime contesté, dans une certaine mesure.
Nommé ministre des Finances durant la dernière année du « règne » de Ben Ali, et malgré les aléas et les accusations, après la Révolution, Ridha Chalghoum répond à l'appel pour faire partie des gouvernements 1 et 2 de Mohamed Ghannouchi, et le revoilà, encore, au devant de la scène politique après sa nomination en tant que conseiller économique auprès de la présidence de la République, cette République que nous chérissons bien et que certains tentent de trainer dans la boue.
Comme le dit le proverbe : « Pierre qui roule n'amasse pas mousse » Ridha Chalghoum demeure inébranlable et inattaquable, surtout que, même devant la justice, il a obtenu gain de cause face aux accusations.
Un tissu relationnel parfaitement trilingue
Depuis son entrée dans la vie politique et dans l'exercice de ses fonctions, Ridha Chalghoum a pu tisser une toile de relations parfaitement trilingue et maitrisant l'environnement des finances. Il est sollicité de partout soit pour avis ou simplement pour être informé de toute nouveauté dans son domaine.
Le lendemain du 14 Janvier, Ridha Chalghoum a été la cible d'un acharnement orchestré contre sa personne par le groupe des 25 avocats de la gauche ne trouvait pas mieux que d'immiscer l'ancien ministre de finances, dans l'affaire du financement du RCD afin de l'évincer du paysage politique.
Il fut même désigné comme chef de file et tête pensante du RCD alors qu'il n'a jamais adhéré à ce parti. Il a été, certes, « récupéré » par le régime de Ben Ali, mais son principe est de servir la Tunisie et non un quelconque parti ou sensibilité déterminée, parce que, pour lui, l'important est de faire bénéficier de son savoir-faire, ses collaborateurs et son pays, et sa récente nomination en tant que conseiller à la présidence de la République et non comme conseiller du Président de la République n'est que la preuve de sa compétence, surtout qu'on n'avait pas pu l'écarter, après la Révolution et qu'il avait fait partie du gouvernement de Mohamed Ghannouchi.
Homme politique, mais technocrate avant tout
Ridha Chalghoum, né en 1962 à Gafsa, est un homme politique tunisien. Il a été ministre des Finances entre 2010 et 2011, au sein du gouvernement Ghannouchi et du premier gouvernement d'union nationale de janvier 2011, qui suit la révolution.
Ridha Chalghoum est titulaire d'un diplôme d'études supérieures, spécialité financement du développement. Auparavant, il étudie à la faculté des sciences économiques et de gestion de Sfax, où il obtient une licence en sciences économiques, ainsi qu'à l'Institut de défense nationale.
Il avait été président du Conseil du marché financier (CMF), puis membre du Conseil économique et social (CES). Il a travaillé auparavant au ministère des Finances tunisien, où il avait occupé le poste de chef de cabinet du ministre, directeur général des avantages fiscaux et financiers et directeur de l'épargne et du marché financier.
Le 14 janvier 2010, il devient ministre des Finances, poste qu'il conserve jusqu'au 27 janvier 2011, alors que les personnalités politiques ayant exercé des responsabilités politiques dans les anciens gouvernements du régime de Zine el-Abidine Ben Ali sont systématiquement remplacées. Il est ainsi successivement membre des gouvernements Ghannouchi I et Ghannouchi II où il était assisté d'un secrétaire d'Etat, Moncef Bouden.
Depuis 2011, Ridha Chalghoum est PDG de la Société tunisienne de garantie qui gère des fonds de garantie provenant essentiellement de l'Etat tunisien, de la Banque mondiale, de l'Union européenne et de l'Agence française de développement.
Dans le contexte des procès suivant la chute du régime Ben Ali, il est entendu par la justice le 4 avril 2011.
Le 17 février 2016, il est nommé conseiller auprès du président de la République Béji Caïd Essebsi, chargé du suivi des réformes économiques.
Les valeurs du sud
Ridha Chalghoum a su perpétuer et protéger les valeurs et principes qui lui ont été inculquées depuis son jeune âge et injectées dans ses veines. Son franc-parler lui causera des malentendus avec ses partenaires qui s'habitueront à cette franchise.
Jamais hypocrite, il a toujours su employer les mots qu'il faut pour dire la vérité et le fond de ses pensées.
L'histoire suivante résume l'intégrité de cet homme, alors ministre des Finances. Il m'avait reçu un dimanche (à 6 heures du matin) après un court entretien, nous avions quitté le ministère pour rejoindre le parking.
Il s'est dirigé vers une voiture banale, c'est alors que je me demandais où est passée la voiture de fonction, la réponse fut plus que révélatrice : «Je pars au Bled rendre visite à ma mère donc j'utilise ma voiture». Pourtant, il n'y avait rien qui pouvait l'empêcher d'utiliser sa voiture de fonction, comme le font, aujourd'hui, de nombreux responsables qui essaient de nous faire croire qu'ils sont au service du peuple.
Fils de militant de première heure, Ridha Chalghoum ne pouvait être qu'un nationaliste pur et dur.
Le choix difficile
Descendant d'une famille de « fellaguas» qui avaient combattu le colonialisme, il mettra, tout au long de sa carrière, l'intérêt national et particulièrement l'intérêt économique supérieur du pays au dessus de tout.
Cette conviction le conduira à affronter tout seul le péril d'envoyer une taxation d'office à Sakhr El Matri, beau-fils du président Ben Ali (Tenez-vous bien) domicilié au palais de Carthage malgré les avertissements des ténors du palais.
Après des études universitaires et postuniversitaires, Ridha Chalghoum a vite grimpé les échelons administratifs pour se propulser à la tête de la direction des avantages fiscaux militant, convaincu, il devait faire son choix : rester dans son cocon ou aller de l'avant et accepter des postes politiques tout en essayant de rester fidèle à ses principes et user des marges d'initiatives permises.
C'est vers cette deuxième option qu'il opte et assure entièrement la responsabilité de ce choix.
Ses geôliers devenus collègue et président
L'histoire du Gafsien est pleine de coïncidences étonnantes. Alors étudiant militant il fut arrêté et conduit à Rejim Maatoug et même mis en isolement.
Ses geôliers n'étaient que Zine El Abidine Ben Ali, alors ministre de l'intérieur et Abdelaziz Ben Dhia, ministre de l'enseignement supérieur. Mais comme la vie est faite ainsi, quelques années plus tard, il se trouva membre d'un conseil du gouvernement présidé par Ben Ali et à côté d'Abdelaziz Ben Dhia.
Pour clore ce dossier une question s'impose : pourquoi la douane qui est une branche de notre force armée n'a pas été impliquée contrairement aux autres corps dans les meurtres de Janvier 2011 ?
La réponse est simple, à la tête de ce corps il y avait un homme intransigeant et nationaliste qui a évité à ses subordonnés une association dans ce bain de sang.
Gauchiste modéré, Musulman et pratiquant
Ce que peu de gens savent c'est que Ridha Chalghoum était l'un des principaux artisans de la réunification de l'aile gauche modérée (لموحد الوطد) (nationalistes démocrates unifiés).
Cette appartenance ou sa sympathie pour cette tendance idéologique ne l'a pas empêché de garder d'excellentes relations avec les autres militants étudiants, toutes tendances confondues. D'ailleurs il était l'un des rares de la gauche qui se déclarait musulman, croyant et pratiquant, tout en défendant le droit de ses compagnons à la liberté de croyance.
En 2008, alors que Ridha Chalghoum veillait aux destinées du Conseil du marché financier, une visite officielle fut organisée dans la région de Gafsa. La délégation était présidée par Taoufik Baccar et Afif Chelbi. Ce qui a attiré mon attention, c'est un spectacle auquel j'ai assisté, pour la première fois (malgré mes visites fréquentes dans la région) .
Des hommes d'un certain âge étaient à l'accueil de la délégation, mais à ma grande surprise je découvre que ces grands nobles et cheikhs de la région en habit traditionnel avec les fameux «Kadroun» et «Amama» avaient fait le déplacement rien que pour accueillir l'enfant de la région resté fidèle à sa terre natale.
L'accueil fut chaleureux et émouvant, ce qui dénote de la popularité du jeune haut responsable parmi les siens et de leur fierté de voir l'enfant du douar gravir les échelons
L'homme qu'il faut au poste qui lui sied
Notre confrère en ligne « Leaders » expose les missions qui sont dévolues à Ridha Chalghoum en tant que conseiller économique à la présidence de la République. Il explique que cette "mission comme celui qui en est chargé ne peuvent pas passer inaperçus. « La question économique devient une composante essentielle de la sécurité nationale, souligne Carthage. Les récents évènements survenus dans les régions intérieures du pays en ont montré l'importance. Aussi, la Présidence de la République ne peut s'exonérer de suivre et accompagner l'action du gouvernement en la matière. Le chef de l'Etat a annoncé le lancement d'une initiative économique et sociale. Le premier dossier dont est chargé le nouveau conseiller économique sera précisément de conceptualiser cette initiative en lui dessinant l'architecture appropriée et la dotant de la mécanique nécessaire. Mais, il y a aussi tant d'autres dossiers qui relèveront de son périmètre ».
Il est vrai, en plus, que dans ses nouvelles charges de ministre-directeur du Cabinet présidentiel, Sélim Azzabi qui coiffait jusque-là, entre autres fonctions, le département économique, n'a plus le temps nécessaire pour s'en occuper. D'où la nécessité de désigner un conseiller économique de haut calibre, immédiatement opérationnel et rompu aux différents dossiers. Le cahier des charges fixé par le président Caïd Essebsi n'était pas facile à remplir : formation de haut niveau, maitrise des fondamentaux de l'économie tunisienne, des finances, de la fiscalité et de l'investissement, gestion de grands dossiers et expérience dans des postes les plus élevés possibles. En plus, évidemment, de la connaissance des principaux acteurs significatifs, d'un carnet d'adresses internationales, de l'intégrité, de l'indépendance et de la capacité de travailler en synergie avec les autres équipes.
Un profil recherché
Ainsi dressé, le profil recherché ne pouvait mieux correspondre qu'avec Ridha Chalghoum. A 53 ans, cet ancien ministre des Finances, natif de Gafsa, titulaire d'un diplôme d'études supérieures, spécialité financement du développement (IFID), et d'une licence en sciences économiques (FSEG Sfax), en plus du diplôme de l'Institut de défense nationale (IDN), répond bien à la description du poste. Gravissant une à une les marches du ministère des Finances, occupant notamment les fonctions de directeur général des avantages fiscaux et financiers, et de chef de cabinet du ministre, il a traité de tous les dossiers y afférents. S'il a quitté momentanément la Kasbah, nommé président du Conseil du Marché Financier (CMF), l'autorité de régulation de la Bourse, c'est pour enrichir son expérience par une meilleure pratique de la Bourse et une plus grande connaissance pratique de l'entreprise et du marché financier. Quand il reviendra à sa maison d'origine, cette fois en tant que ministre, il aura fait le tour de toute la question.
Casting réussi
Reconnu pour sa compétence, son intégrité et son indépendance, ce fils de militant nationaliste qui s'était particulièrement illustré lors du mouvement national, avait été reconduit au poste par Mohamed Ghannouchi au lendemain de la révolution. Mais, il finira par demander son départ. Des banques qui connaissent ses mérites, feront alors appel à lui pour lui confier des postes d'administrateur et des missions de conseils. Ridha Chalghoum, humble et toujours disposé à partager son expérience, répondra aux sollicitations en limitant son champ d'interventions à quelques missions ponctuelles.
Le chef de l'Etat a sans doute eu la main heureuse en l'appelant à ses côtés. Discret, efficace et acquis à l'esprit d'équipe comme le qualifient ceux qui le connaissent de près, il saura apporter une valeur ajoutée substantielle. Casting réussi pour le Conseiller économique, en sera-t-il de même pour les autres postes qui restent à pourvoir au cabinet présidentiel à Carthage.
A la recherche de nouveaux investissements
Ridha Chalghoum a pris à bras- le- corps sa nouvelle mission et ses nouvelles prérogatives, démontrant, une fois de plus qu'il est au service de la Tunisie et non de n'importe quel parti ou sensibilité politique. Il a démontré, comme toujours, que ses préoccupations principales se situent au niveau de l'amélioration de la situation de la Tunisie et la remise sur les rails de l'économie du pays.
Lors de la dernière visite officielle au Qatar, le premier conseiller auprès du Président de la République chargé du suivi des réformes économiques Ridha Chalghoum, a déclaré, lors d'une interview accordée à Neji Zaïri, envoyé de la radio Mosaïque FM dans ce pays arabe, que le congrès économique international décidé en octobre prochain à Doha, permettra à la Tunisie de mettre en place une feuille de route des investissements internationaux.
Il a ajouté que ce congrès soutiendra le développement des investissements de 9% et servira les intérêts de la Tunisie selon ses besoins. Chalghoum a, dans ce sens, mis l'accent sur l'emploi, qui est la première priorité du pays, à l'état actuel.
En revanche, Ridha Chalghoum a indiqué que le taux d'investissement est en baisse de 2.9% depuis les cinq dernières années. «Le taux d'investissement a atteint 19%». L'épargne nationale a baissé de 12.5% également.
Le conseiller présidentiel chargé du suivi de la réforme économique, Ridha Chalghoum, a assuré qu'un accord a été trouvé avec le côté qatari pour organiser un congrès de soutien à l'investissement en Tunisie qui dispose de la même importance que le congrès International pour l'Investissement qui sera tenu en novembre.
Ce congrès devra aussi permettre à notre pays de bénéficier de nouveaux investissements étrangers dans le cadre de son plan de développement quinquennal.
Certains Tunisiens grincheux chercheront à dénigrer le travail que nous sommes en train d'accomplir pour servir la Tunisie et pour tenter de rendre à César ce qui lui est dû, en rappelant que les compétences tunisiennes n'ont jamais été acquises au pouvoir en place et que leur seul souci est de servir la patrie.
Mais, l'important est de réhabiliter ces compétences dénigrées à tort et comme le dit l'adage, « les chiens aboient et la caravane passe »
Pour clore ce dossier, une question s'impose : pourquoi la douane qui est une branche de nos forces armées n'a pas été impliquée contrairement aux autres corps dans les meurtres de Janvier 2011 ? La réponse est simple : à la tête de ce corps il y avait un homme intransigeant et nationaliste qui a évité à ses subordonnés une implication dans ce bain de sang.


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