Le secrétaire général du CPR, Imed Daïmi, a exprimé sur les ondes de Mosaïque FM, sa surprise qu'on implique le président provisoire de la république, Moncef Marzouki, dans la crise politique actuelle. « Un tel acte est dangereux et peut même avoir des incidences sur la stabilité du pays et ses institutions », a-t-il indiqué dans une allusion à peine masquée aux pouvoirs du président notamment en matière de sécurité militaire.