Le secrétaire général adjoint de l'UGTT, Bouali Mbarki, a indiqué, lundi 15 septembre 2014, que le futur président de la République est un oiseau rare. Mbarki a justifié l'expression rare par le fait que le candidat devra être au-dessus de toutes les considérations partisanes afin de rassembler un maximum de Tunisiens et de Tunisiennes. Il a ajouté « le futur président devra être différent du président sortant qui avait des positions imposées par son parti et les partis de la Troïka pour qu'il soit accepté par toutes les classes de la société ».