Le procès de l'assassinat du leader du Front populaire, Chokri Belaïd, s'est ouvert, mardi, devant la Cour criminelle spécialisée dans les affaires du terrorisme au tribunal de Tunis. Plusieurs des accusés dans cette affaire ont refusé de comparaitre et de présenter devant le juge en signe de protestation contre leurs conditions de vie en prison.