Tweet Share TUNIS (TAP) - Les composantes de la société civile, parmi les partis politiques, les organisations et les associations ont condamné, dans des communiqués rendus publics vendredi, les actes de violence perpétrés, jeudi, dans la ville de Tataouine, et qui ont provoqué la mort du secrétaire général de l'Union régional de l'agriculture et de la pêche et coordinateur régional du mouvement "Nidaa Tounes"(...). Le parti "Al-Massar démocratique et social" a dénoncé ce qu'il a qualifié "d'actes terroristes qui visent à éliminer les concurrents politiques et à terroriser les citoyens"(...). Pour leur part, le Parti du Congrès pour la République (CPR) et le Parti de la Jeunesse libre ont souligné l'impératif d'ouvrir une enquête judiciaire d'urgence (...). Le mouvement démocratique pour la réforme et la construction a dénoncé, de son côté, toutes formes de violence (...). Le parti "Al-Amen" a imputé l'entière responsabilité de la poursuite par les milices de la pratique de la violence aux pouvoirs exécutif et judiciaire (...). S'agissant de la même question, le parti "Al-Majd" a exhorté le ministère de l'Intérieur à oeuvrer "à prévenir et à anticiper de tels événements"(...). Le parti du mouvement Baâth a appelé le gouvernement à assumer sa responsabilité dans l'échec de protection des citoyens contre les ligues de protection de la révolution (...).Le parti "Al-Wifak" a mis en garde contre le recours des concurrents politiques à la violence (...) Dans son communiqué, la Ligue tunisienne de défense des droits de l'Homme a insisté sur la nécessité de protéger le droit de s'organiser et de manifester pacifiquement (...). L'Association tunisienne de soutien aux minorités a exhorté les forces vives du pays à agir en vue d'identifier les parties qui sont derrière de tels actes criminels. Tweet Share Précédent Suivant