Le ministère de l'Intérieur annonce, dans un communiqué rendu public, que 14 extrémistes religieux ont été transférés devant l'unité nationale de lutte contre le terrorisme à l'Aouina. Le même communiqué informe que les suspects sont originaires de Gabès, Médenine et Tataouine. Ces derniers sont impliqués dans l'envoi des jeunes au jihad.