La chambre d'accusation du tribunal de première instance de Sousse a ordonné la libération de la FEMEN tunisienne Amina Femen, inculpée pour avoir profané un lieu sacré au Kairouan en écrivant le mot « femen » sur le mur d'un cimetière. Néanmoins, les charges n'ont pas été abandonnées et Amina comparaîtra à son procès prévu dans une quinzaine de jours en état de liberté.