''Le blacklistage de la Tunisie par l'Union européenne n'est pas fatal. C'est réversible. Il suffit d'y travailler et de converger vers les standards internationaux de transparence sur la circulation des capitaux.'' C'est ce qu'a déclaré à Leaders, jeudi à Paris, Walid Ouselati, senior économiste à l'OCDE. La Tunisie gagnerait à respecter ces standards, plutôt que de laisser perdurer davantage la situation actuelle de blacklistage'', a-t-il moment.