La lune de miel entre l'Etoile et son attaquant Iheb Msekni semble avoir abouti à son terme. En effet, largement critiqué pour ses prestations « quelconques » et son rendement « presque décroissant » (dixit le public), le joueur qui ne fait plus partie du groupe, est prié de chercher un club repreneur, sachant que son contrat avec l'Etoile expire le 30 juin 2019. Du coup, les offres commencent à affluer au secrétariat du club. Les plus en vue celle de deux clubs libanais dont notamment Al-Ghazela Libanais et une troisième d'un club libyen intéressé par le profil du joueur. Par ailleurs, même si in-fine la résiliation du contrat semble à l'ordre du jour, les responsables étoilés préfèrent patienter pour que l'opération du divorce soit effectuée dans les règles de l'art. Le Comité Directeur de du club sahélien ne doit pas oublier que ce genre d'opération nécessite non seulement une totale maîtrise de la réglementation en vigueur et surtout de la dextérité dans la gestion des contrats des joueurs. A ce titre rappelons que Ridha Charfeddine a dû débourser prés de 7 millions DT pour régler les sanctions infligées par la FIFA suite justement à une mauvaise gestion des contrats des joueurs. Le meilleur exemple en date est la dernière sanction infligée par le TAS à l'ESS à propos du cas de Bilel Mohsni. Coupe de Tunisie : Contre CS Al-Alia ou AS Métline Pour le compte des seizièmes de finale de la Coupe de Tunisie dans son édition 2018/19, les étoilés, bien servis par le sort, vont hériter d'un adversaire relativement modeste (comparé à l'ESS). En effet, les protégés de G.Leekens auront à affronter le vainqueur de l'opposition CS Al-Alia- AS Métline. Rappelons qu'au cas où les étoilés auront pour adversaire le CS Al-Alia, ce sera la deuxième fois que les deux équipes croisent le fer ne Coupe de Tunisie en l'espace de deux saisons. Raouraoua inspecte les installations du stade olympique de Sousse Depuis sa création en 1975, le stade olympique de Sousse n'a pas bénéficié de l'entretien approprié par les services municipaux de la ville de Sousse. En effet, resté en l'état l'édifice n'est presque plus aux normes internationales en vigueur. Récemment, l'algérien Mohamed Raouraoua, président de la commission d'organisation au sein de l'UAFA et membre exécutif de la FIFA a rendu une visite surprise au stade de Sousse en vue d'accorder l'agrément nécessaire pour l'organisation des compétitions arabes. Grande fut sa surprise quand il a découvert des installations presque vétustes, en tous les cas, inappropriées compte tenu du standing du club utilisateur (ESS) et surtout du statut conféré à cet édifice. Du coup, et sous peine d'interdire le déroulement des prochains matchs en coupe arabe à l'ESS, il a ordonné la réfection des vestiaires des visiteurs, la remise en état du tableau lumineux, sans compter quelques autres travaux nécessaires pour assurer un tant soit peu la sécurité. En effet, si la ville de Sousse traîne encore pour effectuer ces travaux, l'ESS risque tous ces matchs en Coupe Arabe au stade de Radés.
