L'ex-coach de l'Etoile Faouzi Benzarti, vient de rompre le silence par rapport à son récent passage à la tête du club Sahélien « J'ai fais de mon mieux pour hisser le niveau de l'équipe et des joueurs comme je l'ai toujours fais, mais les résultats n'étaient pas au rendez-vous. On peut se tromper sur certains choix, c'est la loi du football, mais je dois avouer que j'ai dû composer avec l'effectif à ma disposition, d'ailleurs les recrutements qui ont été réalisés ne relevaient pas de mes propres recommandations. A titre anecdotique, avant certaines séances d'entrainement j'ai été surpris par la présence de quelques joueurs que je ne connaissais pas et dont je n'ai pas été averti par leur présence. J'ai demandé aux dirigeants de l'époque de m'offrir au moins un quart d'heure pour pouvoir évaluer leur niveau, chose qui ne m'a pas été accordée. Enfait, on me mettait devant le fait accompli et c'est la raison pour laquelle j'ai fais confiance aux éléments que je connaissais-allusion faite à Brigui et Jemal- d'ailleurs, pour moi ce dernier était le meilleur défenseur à ma disposition. Même Garrido était du même avis puisqu'il était titulaire à part entière avec le technicien espagnol ». « Aucun étranger ne mérite de porter le maillot de l'Etoile ! » Sur le même ton, l'indémodable Faouzi Benzarti a donné un avis désolant sur le niveau des étrangers de l'Etoile « Pour moi et au risque de surprendre certains, aucun joueur étranger au sein de l'ESS ne mérite de porter le maillot du club sahélien. D'ailleurs, je considère que 90 % des joueurs actuels de l'Etoile doivent chercher ailleurs. Sur un autre plan, je suis contre l'idée qu'il faut rajeunir l'effectif quitte à faire l'impasse sur les titres en jeu, c'est quelque chose d'inadmissible pour moi pour un grand club comme l'Etoile. Il faut obligatoirement réussir l'équation : injecter de nouveaux joueurs tout en continuant à jouer les premiers rôles, c'est le destin des plus grandes écuries ».