« Certains blocs parlementaires ont refusé d'adopter la ratification de l'accord international pour la protection de l'environnement et du littoral car ils considéraient que cet accord consacre la normalisation avec l'entité sioniste juste parce qu'Israël a ratifié le même accord. Au moment où nos plages sont détruites et le problème environnemental s'aggrave -c'est ce que nous constatons tous les jours à Bizerte et dans d'autres régions comme Sfax et Gabès-, le Parlement tunisien rate l'occasion d'adopter un accord international de financement pour protéger l'environnement. D'ailleurs, l'accord permet à la Tunisie de bénéficier d'un financement pour protéger l'environnement marin et les zones côtières en luttant contre la pollution et en faisant face aux répercussions du changement climatique ».