p class="p1" style="font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 16px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"Candidatures ouvertes pour les JTC 2020 prévues en décembre prochain Les candidatures sont ouvertes pour les structures et les troupes théâtrales professionnelles du monde entier qui souhaitent participer à la 22ème édition des Journées théâtrales de Carthage (JTC) prévues du 05 au 13 décembre 2020. L'édition 2020 des JTC sera organisée dans sa version habituelle et aura lieu durant la même période que celle de l'édition précédente, tenue du 07 au 15 décembre 2019. La date limite pour le dépôt des dossiers de candidature est fixée au 15 septembre 2020, selon un communiqué publié le 2 juillet sur le site des JTC. Le Comité d'organisation rappelle que les Journées proposent une compétition officielle aux nouvelles productions théâtrales professionnelles tunisiennes, arabes et africaines produites. Un comité de sélection sera créé afin de choisir les meilleures œuvres candidates qui doivent être produites entre 2019 et 2020 et n'ayant pas été soumises durant l'édition précédente. Les troupes désireuses de postuler pour la compétition officielle ou les sections parallèles des Journées peuvent adresser leurs dossiers par email ([email protected]) ou par voie postale (16 bis rue d'Autriche, le Belvédère, 1002 Tunis-Tunisie). Les modalités de participation et les pièces à fournir sont disponibles sur le site des JTC http://www.jtcarthage.tn/ p class="p1" style="font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 16px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";""Patrimoine culturel et développement durable", thème d'une Journée d'étude p class="p1" style="font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 16px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"au Musée archéologique de Sousse "La multiplication des intervenants dans la gestion du patrimoine a entraîné des dissensions dans le traitement du secteur", a déclaré Faouzi Mahfoudh, directeur général de l'Institut national du patrimoine (INP). Mahfoudh s'exprimait en marge d'une journée d'étude autour du thème "Patrimoine culturel et développement durable : enjeux et perspectives" organisé samedi au Musée archéologique de Sousse par le Forum de l'Académie politique en partenariat avec la Fondation allemande Konrad Edenauer. Dans une déclaration au correspondant de TAP à Sousse, il a estimé que " la question du patrimoine matériel et immatériel exige la mise en place d'une politique nationale claire qui implique un engagement de toutes les institutions publiques dans la valorisation du secteur ". Côté financements alloués au secteur, le responsable de l'INP a déclaré que le budget actuel "ne répond pas aux besoins du secteur et demeure assez faible pour le patrimoine national important qui compte 1200 sites historiques dont 750 classés ". Il a appelé à " la révision du budget réservé aux organismes et institutions nationales en charge du patrimoine, la création de d'inspections régionales relevant de l'INP et à davantage d'implication du secteur privé dans de projets de valorisation du patrimoine national ". Le but étant de faire du secteur " un vecteur de développement culturel, social, économique et environnemental ", a-t-il expliqué. Il a encore insisté sur " l'enrichissement du code des collectivités locales par l'introduction de nouveaux chapitres qui stipulent clairement la protection des sites archéologiques et monuments historiques ". Pour sa part Mohamed-el Aziz Ben Achour, historien, a fait constater l'ampleur des dégâts dans plusieurs sites archéologiques et monuments historiques à cause du rythme de vie moderne. Dans une déclaration à TAP, cet ancien ministre de la Culture a souligné que la situation nécessite " une intervention d'urgence pour l'aménagement et la protection des sites des multiples dangers extérieurs qui les menacent ". Ben Achour compte sur " une véritable prise de conscience sociale pour sauver le patrimoine national qui devra être exploité davantage dans le cycle de développement économique ". A cet effet, il suggère d' "encourager l'investissement dans le patrimoine dans un cadre organisé qui se déroule sous la supervision de l'INP ". La journée a été marquée par la participation de plusieurs experts et spécialistes dans la protection et la mise en valeur du patrimoine participants. Les interventions ont été axées sur cette relation étroite entre patrimoine et développement économique et social ainsi que les possibilités qu'offre le patrimoine national dans la promotion du tourisme alternatif dans le pays. p class="p1" style="font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 16px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"Cin'Etoiles: 3 films en projection p class="p1" style="font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 16px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"gratuite du 3 au 21 juillet Trois comédies dramatiques arabes sont au menu de la manifestation Cin'Etoiles qui propose des projection en plein air, du 3 au 22 juillet, à l'Institut français de Tunis et de Sfax et au Musée archéologique de Sousse. Cette manifestation estivale est initiée par l'Ift Tunisie, sachant que cycle de projections à Sousse est organisé en partenariat avec la délégation régionale des Affaires Culturelles et l'Institut national du Patrimoine (INP). Les œuvres proposées sont des coproductions sorties 2019, à savoir "It must be heaven" du Palestinien Elia Suleiman (102'), "Le miracle du Saint Inconnu" du Marocain Alaa Eddine Aljem (100') et "Un divan à Tunis" de la Tunisienne Manele Labidi (90'). ?"It Must be Heaven" a ouvert le cycle des projections à Tunis, sachant que ce film largement primé est sorti ce mois de juillet sur nos écrans, une sortie qui coïncide avec la réouverture des salles. Présenté en competition officielle du 72e festival de Cannes, ce film avait décroché la Mention spéciale du Jury et le prix de la critique internationale décerne par la Fipresci (Fédération internationale de la presse Cinématographique). Cette coproduction qui réunit plusieurs pays (Palestine, France, Qatar, Allemagne et Canada) a récemment été doublement récompensée au niveau arabe. Le film a remporté le prix du meilleur film et celui du meilleur réalisateur des Critics Awards. L'accès aux projections est gratuit alors que le nombre d'entrées est limité, en application des mesures sanitaires préventives du Covid-19, indique l'IFT. Voici le programme détaillé des projections avec mention du film, des dates et des lieux: