L'avocat Imed Ben Halima a mis en garde : ''Il y a des anesthésiants qui peuvent être utilisés pour que la personne visée se pende et cela est indétectable par les analyses biologiques lors de l'autopsie. " Cette déclaration intervient en lien avec la mort mystérieuse du sécuritaire Mohsen Adili avant le témoignage contre le vice-président du mouvement Ennahda, Noureddine Bhiri au milieu de mouvements mystérieux, notamment la perte de son arme administrative quelques jours avant sa mort. Ben Halima a considéré que Adili ne s'était pas suicidée.