L'Union générale tunisienne du travail (UGTT) a considéré que le procès intenté par un responsable au ministère de l'Education aux syndicalistes Sami Tahri et Ghassen Ksibi est un coup dur infligé à la liberté d'opinion et d'expression. (Lire notre article à ce sujet : http://www.businessnews.com.tn/Tunisie---Un-journaliste-et-un-syndicaliste-devant-la-justice,520,28344,3) Cette démarche, ajoute la centrale syndicale, va à contre courant de la révolution. Elle fait obstacle au processus de démantèlement de la corruption qui a pris de l'ampleur sous l'ancien régime. Dans un communiqué publié vendredi 23 décembre 2011, l'UGTT affirme «son soutien de principe et inconditionnel» aux deux syndicalistes. D'après TAP