Rachat immédiat pour les Stadistes Alors que la famille stadiste s'apprête à organiser une assemblée générale extraordinaire élective importantissime pour l'avenir proche du club du bardo, la reprise de l'équipe de Lewieg face aux Aghlabides apportera quelques nouveautés. En effet, l'effectif des «Rouge et Vert» enregistrera l'absence du défenseur Seïfallah Hosni, de Obain Koko et de Radhouan Ben Ouannes. Hosni, qui demeure une pièce maîtresse dans le dispositif défensif du Stade, a eu une petite contracture musculaire au cours de la semaine, et on a préféré le ménager pour la suite de l'exercice. On verra donc Hamza Zakar aux côtés de Hadj Massaoud dans l'axe de la défense, alors que Yaken et Ayari seront alignés sur les flancs. Quant à Koko, qui souffre d'une élongation, il cédera sa place à l'Ivoirien ex-sociétaire de l'Assec Abidjan, Koassy Marcial, qui fera sa première apparition avec l'équipe. Koassy, qui est au Bardo depuis décembre dernier, jouera en demi offensif juste devant Bâ. Il soutiendra Msakni. Et si Maâtoug et Tej occuperont les couloirs, Cherni sera le joker de l'attaque. Selliti et le jeune Ben Ammar restent des solutions offensives que le coach stadiste pourraient utiliser en cours de jeu. Confiance en Lewieg Les coéquipiers de Rami Jeridi, 4e au classement avec 20 points, tenteront tout à l'heure à El Menzah de battre un concurrent direct, en l'occurrence la JSK, qui est à deux longueurs de l'équipe du Bardo (18 points). Avec une éventuelle victoire, les «Rouge et Vert» espéreront garder le cap dans le groupe de tête. L'ambiance sereine qui règne, du moins pour le moment, dans l'équipe stadiste semble confirmer la confiance dont jouit le technicien français, Patrick Lewieg. Des responsables dans le bureau des «Rouge et Vert» affirment que l'entraîneur continuera à travailler jusqu'à la fin de son contrat, dans un an et demi. Le sérieux et la rigueur de Lewieg semblent des atouts et même les fautes de coaching qu'il a commis lors de quelques matches sont perçues comme «passagères et pas graves», comme le souligne Lassâad Mghirbi.