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Réponse sans hargne d'un « hargneux » : « Tête de graisse, quintal de chair, nafs moumna »
Opinions
Publié dans La Presse de Tunisie le 31 - 05 - 2013


Par Khaled El Manoubi
«Tête de graisse, quintal de chair, âme pieuse (à vues simplistes)» : lorsque le moment de faire place nette au deuxième dauphin de la France, Nouira, le premier dauphin de Bourguiba, s'est fait « fort » — dans un discours public — de pulvériser–avec la hargne de celui qui joue son intégrité physique – celui qu'il a fait numéro deux du pays pendant quinze ans. Ce faisant, cette hargne pulvérise et le parti, et l'Etat et le peuple. Mais Bahi Ladgham lui-même ne savait pas qu'il servait un dauphin de la France et pensait même être un pilier de ce qu'il croyait être un vrai régime.C'est du reste à ce titre, malgré cette cinglante humiliation perpétrée par la hargne grotesque de Bourguiba, qu'il s'en est pris à l'historien Hamza, tout comme Bourguiba s'en est pris au moins administrativement, institutionnellement, médiatiquement et par universitaire interposé, à l'historien le professeur Béchir Tlili.
Un chef de guerre qui fait de l'histoire actuelle sa propre affaire et qui s'en prend, ne serait-ce qu'à un seul historien, ne fait qu'exprimer sa peur panique de la vérité historique. Il est vrai que les cadres, bien qu'ils soient d'une façon ou d'une autre des humiliés du « régime », se sentent solidaires de ce dernier parce qu'ils ne peuvent se concevoir sans lui, en fait sans leur soumission inconditionnelle à un chef de guerre.
Pour notre part, nous n'avons cité Hamza que comme auteur d'une publication dans laquelle il cite un document d'archive mentionnant un passage d'un rapport interne de Doolittle nécessairement antérieur au blanchissage de Bourguiba par les Français auprès des Américains ainsi qu'aux contacts pris avec ce même Consul par les serviteurs – donc en fait ignorant du pot aux roses franco-bourguibien – du dauphin en premier.
Quant aux prisons, déportations, fuites et autres caches de Bourguiba et de Nouira, elles font partie du contrat passé avec la France : celle-ci leur a fait faire un travail de longue haleine, digne des serviteurs des grandes puissances, sauf que l'élite tunisienne a été proprement roulée dans la farine par la France. A tel point que l'aveuglement de cette «élite» est tellement dépourvu de limite que les membres de cette même élite s'arrogent avec force hargne – dont ne sont même pas dispensées les âmes pieuses – le droit usurpé, parce que faisant outrage au peuple, de s'autoproclamer au détriment de ce même peuple.
Finalement, Saida Maherzi n'aura rien proposé de consistant face aux faits et à la cohérence des faits que nous invoquons.


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