Le ministre du tourisme n'y voit aucun inconvénient. Il va falloir, tout de même, accorder vos violons ! Et puis non, ne vous donnez pas cette peine : on le fera pour vous. Et, on fera court. Le raccourci vendeur, c'est : la plage oui, et s'il le faut, arrachons les pavés. Ouf ! Comme on respire… C'était moins une et on piquait une trempette. De toute façon, il aurait été difficile de résister. C'est entendu : avec les précautions d'usage. On est pressés mais pas fous, alors, préservons nos acquis. Une distance respectueuse, mais pas avec l'écume qui flirte avec la vague ; ce serait trop cruel. Et la mer allée, avec le soleil ? Pareil. Rimbaud sans les tropiques du valium, et puis l'été, à pas de loup, et c'est ouf ! Encore une fois, sans corona en vue, et sans récidive dans le collimateur. Promis, juré, et tout ce que vous voulez, mais n'allez pas miner le moral de nos troupes, qui s'en tirent plutôt bien, et entendent le rester. Au fait : qui a raison et qui a tort ? Fastoche : il est interdit d'interdire la baignade, monsieur le ministre de la Santé. Vous devriez piquer une « tête », ça vous requinque son homme en toutes circonstances, alors sans restriction. Un sport complet la natation, ou pas ? « Ah que ma quille éclate, ah que j'aille à la mer… ! ». C… qui s'en dédie.