* Ecoulement illicite de médicaments * Découvert mort dans son appartement * L'auto-stoppeuse, un appât sûr Estomaquée, la dame qui fut impliquée dans une affaire de chèque sans provisions, clama son innocence, déclarant qu'elle n'avait jamais émis de chèques à ce commerçant d'appareils électroménagers la victime en l'occurrence. Une expertise démontra que l'écriture de la dame n'était pas conforme à celle se trouvant sur le chèque. Il s'avéra en effet que c'était sa sœur qui avait falsifié lesdits chèques. Comme elle avait des paiements urgents, elle utilisa ces chèques en les falsifiant et présenta pour toute pièce d'identité, celle de sa frangine. Les agents de la brigade économique finirent par mettre la main sur la vraie coupable qui fut écrouée et inculpée à la place de sa sœur, mise hors de cause et relaxée.
Ecoulement illicite de médicaments Trois jeunes hommes ont comparu dernièrement devant le tribunal, pour répondre de l'accusation de distribution de médicaments prohibés en l'occurrence du Viagra. Les faits ont éclaté suite à l'interpellation de l'un de ces jeunes par les agents de la brigade criminelle, qui s'avéra avoir une bonne quantité de Viagra qu'il avait l'intention d'écouler. Arrêté il dénonça ses deux complices qui reconnurent leur forfait. Les accusés ont été laissés en liberté par le tribunal et l'affaire a été renvoyée à une date ultérieure afin de permettre à l'avocat de réunir les moyens de sa défense.
Découvert mort dans son appartement Les habitants d'un immeuble à El Menzah, intrigués par l'odeur nauséeuse se dégageant d'un appartement ont alerté la police qui se dépêcha sur les lieux, pour découvrir le cadavre en décomposition d'un bonhomme qui n'était autre que le voisin qui avait élu domicile dans l'immeuble depuis quelque temps. Le procureur de la République ordonna une autopsie sur le cadavre qui a été confié au médecin légiste de l'hôpital Charles Nicolle. Une enquête est ouverte afin de déterminer les circonstances précises de la mort de cette personne.
L'auto-stoppeuse, un appât sûr L'automobiliste qui rentrait chez lui, après une journée éreintante, fut ravi à la vue d'une jeune fille qui faisait du stop sur la voie publique. Aussi ne pouvait-il que s'arrêter pour la prendre à bord de son véhicule et l'emmener à la destination qu'elle désirait, avec le plus grand plaisir. Mais chemin faisant, le jeune homme altruiste eut la désagréable surprise d'être arrêté par des voyous qui le rouèrent de coups avant de s'emparer de son véhicule. Celui-ci a été retrouvé plus tard à quelques kilomètres des lieux de l'incident. Il ne put que déposer une plainte contre l'auto-stoppeuse qui soutint mordicus devant le tribunal qu'elle n'y était pour rien dans cette affaire et qu'elle ne connaissait aucun membre de cette bande de malfaiteurs. Son avocat sollicita l'acquittement pour sa cliente, pour défaut de preuves.