Suite à la publication de l'article intitulé "Lecture d'une facture de la SONEDE" paru au journal Le Temps du 18/07/2009, et dans lequel le journaliste a essayé de faire une lecture de la facture de consommation de l'eau potable, la SONEDE souhaite user de son droit de réponse et donner aux lecteurs les précisions suivantes: L'article ne reflète en rien la réalité de la gestion commerciale à la SONEDE ni celle de la facturation, et même si ces informations, dont parle le journaliste, sont fournies par quelqu'un de la société, il ne peut en aucun cas exercer en qualité de responsable comme il est mentionné dans l'article. Par ailleurs, en ce qui concerne les tarifs de l'ONAS, nous portons à votre connaissance que déontologiquement la SONEDE ne peut pas y porter de jugement, son rôle se limite à la facturation conformément à la convention liant les deux organismes. En conclusion, et afin d'éclairer le lecteur sur le système de facturation à la SONEDE, la direction de la communication et de la coopération internationale reste à la disposition de tous les journalistes afin de leur fournir les informations nécessaires ou les mettre en contact avec les personnes compétentes pour fournir d'une part une information fiable et ne pas nuire d'autre part à l'image de la société.
NDLR: Il s'agissait, comme le confirme ce "droit de réponse" d'une lecture dans la facture de la SONEDE. Une lecture est une lecture: d'abord les chiffres, leur fiabilité, leurs incidences et leur justification. Une facture doit répondre à ces normes. Et, c'est en fonction de ces normes que "le journaliste", comme vous le dites, a commenté, le référant entre autres, dans son travail d'investigation, à des indications fournies par des employés de la société elle-même. Du reste, le citoyen a le droit de se poser des questions sur les tarifs de l'ONAS répercutés dans la facture de la SONEDE. Mais si vous dites que vous ne pourrez les commenter "par "déontologie, nous ne sommes pas, nous autres journalistes, liés par cette même déontologie.