Voila aujourd'hui c'est la dernière journée de la conférence des parties contraintes (COP 17) à la convention cadre des nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) qui se tient à Durban, en Afrique Sude, est encore aucun accord n'a été trouvé. Selon Najah Dali, Cette conférence au lieu d'avancer les questions sur les quelles il y avait un accord comme la création d'un fonds vert pour le climat et de trouver un arrangement sur les moyens de baisser la température du globe de 2°C, telle que convenue l'année passée à Cancun, voila elle semble terminer sur un échec à cause des divergences entre les états Unies d'u part et le chine, l'inde et l'affriquée du Sud d'un autre coté. Les états unies qui ne veut pas voir un nouveau engagement contraignants sans voir la chine, l'inde prendre des décisions contraignantes sur la baisse de émissions des gaz à effets de serre et aussi pas d'obligation pour la création d'un fonds verts pour le climat avec 100 milliards d'ici 2020.
Donc, D'après, Najah Dali, le protocole de Kyoto qui se termine en 2012, sera une coquille vide pour les autres années sans aucune obligations pour les pays pollueurs.
Le protocole de Kyoto est entré en vigueur en 2005 avec pour objectif de réduire de 5,2%, par rapport aux émissions de 1992, les six principales substances (dioxyde de carbone, méthane, dioxyde d'azote et trois substituts des chlorofluorocarbones), responsables du réchauffement de l'atmosphère. Il impose par exemple aux 36 pays industrialisés et à l'Union européenne qui l'ont ratifié, des « objectifs différenciés » d'ici 2012 : -8% pour l'UE, +15,0% pour la Russie, -6% pour le Japon…
Il semblerait que seulement quelques pays, représentant 16% des émissions mondiales, souhaitent une extension du protocole de Kyoto au delà de 2012.
Cet échec selon les présents, est claire les intérêts des grands pays émetteurs de gaz à effet de serre diffèrent des pays pauvres de l'Afrique qui ne contribue pas plus de 5% au gaz à effets de serre à l'échelle mondiale. Ces pauvres malgré leur faible émission des gaz à effets de serre, c'est eux qui subissent le plus les effets adverses des gaz à effets de serre, par la sécheresse, la baisse des ressources hydrauliques et du rendement de l'agriculture, les innodqations, les feux de forêts,…... Sur ces questions de prolonger le protocole de Kyoto ou sans rejet trois groupes se distinguent. La carte présentée ici montre schématiquement trois groupes de pays : ceux qui souhaitent prolonger le protocole de Kyoto, ceux qui n'en veulent pas et ceux qui préfèrent temporiser.
Dans le premier groupe, on trouve l'Australie, la Nouvelle-Zélande et l'Union européenne, bien engagées depuis le début des négociations sur le climat et qui ont ratifié le protocole de Kyoto. L'Afrique est du lot car les conséquences d'un réchauffement, avec une désertification accrue notamment, seront, on le sait bien, marquées sur ce continent. La carte ne montre pas les pays de l'océan Pacifique, dont les terres se résument à quelques îles peu élevées par rapport au niveau de la mer et qui se sentent menacées, par la réduction de la surface due à la montée des eaux mais aussi à l'accroissement du nombre de cyclones.
Schématiquement, on peut regrouper en trois ensembles les pays selon leur avis sur les engagements à prendre pour réduire l'influence de l'industrie humaine sur le climat : ceux qui veulent faire ce qu'il est possible de faire, ceux qui refusent de s'engager sans que les autres s'engagent autant et ceux qui veulent attendre l'an prochain.
Parmi les pays réfractaires figurent les deux plus gros émetteurs de gaz à effet de serre. la Chine et les Etats-Unis.
La Chine n'a pas ratifié le protocole de Kyoto car elle était alors classée dans les pays en voie de développement et donc épargnée des efforts à consentir, alors que les états unis, le canada et d'autres pays la voyaient comme étant un des grands polluers avec plus de 25% des émissions mondiales.
Quant aux Etats-Unis, ce pays a refusé de ratifier ce protocole et reste aujourd'hui sur une ligne voisine. La possibilité d'un accord y est aujourd'hui acceptée à condition que les autres grands pays émetteurs (en clair la Chine) s'y soumettent aussi.
Les pays attentistes sont nombreux, on remarque dans ce groupe le Brésil, le Canada, l'Inde et la Russie, gros émetteurs eux aussi. L'Inde s'installe en fait sur une position semblable à celle de la Chine, privilégiant le développement économique et l'amélioration de la vie de ses habitants. Le Canada, lui, a clairement indiqué qu'il refusait d'adhérer à une seconde phase du protocole de Kyoto, préférant s'en tenir aux accords de Cancùn. Selon les Najah Dali, aucun accord ne sera signé, au plus une feuille de route qui constituera une base de travail pour le prochain sommet mondial suer le développement dural prévu au Brésil en 2012 , RIO + 20.