Le report lundi du procès de la jeune fille « Meriam » violée, le 4 septembre 2012 par deux policiers, a provoqué des réactions de plusieurs organisations de défense des droits humains qui ont dénoncé dans une déclaration commune les tentatives visant à ternir l'image de la victime en lui imputant la responsabilité de ce qui c'est passé pour justifier ce crime « odieux ».