Nos plumes ne s'arrêteront pas d'écrire et nos langues ne cesseront jamais d'exprimer notre indignation face à l'horreur et la barbarie dont sont victimes les millions de syriens qui meurent dans l'indifférence la plus abjecte. C'est un crime contre l'humanité et un véritable génocide planifiés par l'alliance Islamo-Sioniste et exécutés par des mercenaires sans foi ni loi. Les voix humaines qui s'émeuvent maintenant du sort tragique des refugiés syriens étaient les complices de ce massacre il y a si peu. L'histoire retiendra les sommets des Amis de la Syrie organisés par les inféodés aux pétrodollars, le soutien logistique et financier apporté aux barbares religieux par les démocrates turcs et la vendetta médiatique orchestrée par les autorités européennes pour diaboliser le régime de Bachar et pour présenter les soldats de la mort comme l'unique alternative à la dictature et garant de la DEMOCRATIE en Syrie. La boite à pandores de l'Oncle Sam a magistralement planifié sa stratégie cynique et perverse. Créer un ogre inhumain et sauvage au service de son maitre et l'entrainer pour tuer uniquement ses semblables. Alors pourquoi s'offusquer maintenant de cette barbarie régnante alors que toutes les DEMOCRATIES occidentales et leurs officines arabes aient été des complices sans scrupule de cette abominable tragédie et géniteurs par insémination artificielle de cette créature mi-homme, mi- animale farouchement défendue par les « révolutionnistes » et les « droits-hommistes » généreusement rétribués pour s'aligner sur la position de leurs maitres. L'indignation rétrospective de la communauté internationale ne saurait panser les plaies d'un peuple victime de crimes odieux ni balayer sa passivité devant ce lot d'atrocité. Le soutien politique (n'est-ce pas « les Amis de la Syrie »), la caution idéologique de l'internationale sioniste (Mc Cain, BHL que nous avons reçu avec les honneurs en Tunisie), la légitimation religieuse apportée par Kharadhoui et compères qui prêchent partout même sur nos terres le Jihad, l'armement de cet ogre animal par les pays du Golfe et la Turquie et la passivité européenne face à cette barbarie ne sont rien d'autre qu'une abominable complicité dans ce crime contre l'humanité. Et c'est à ce titre qu'ils devraient être tous jugés comme « criminels de guerre » et instigateurs du « génocide syrien ». L'émotion internationale actuelle et la compassion devant un tel massacre contrastent avec le soutien indéfectible apporté dans le passé aux soldats de la mort et l'indifférence des pays du golfe face au génocide contraste avec les valeurs humanitaires et la conscience religieuse qu'ils sont censés porter. Et sans tomber dans l'admiration béate de certaines postures compassionnelles d'aujourd'hui, il appartient aux autorités européennes d'assumer leurs erreurs du passé et leur « suivisme » aveugle de cette exaction génocidaire orchestrée par l'alliance islamo-sioniste.