La « noble » décision de notre président de la République et militant des droits de l'homme, Moncef Marzouki, d'amnistier des prisonniers, commence à donner ses fruits. Une source sécuritaire a confirmé, mercredi 27 mars 2013, que les personnes arrêtées dans le viol d'une mère de famille et de sa sœur, mardi soir, à Kairouan ont bénéficié de la grâce présidentielle. Selon les premières informations, le premier aurait été gracié le 14 janvier 2013 alors que l'autre fait partie de la dernière liste des prisonniers graciés le 20 mars de la même année.