Amina Fakhet, Nassif Zeytoun et Lamine Nahdi au programme de la 31e édition. La 31e édition du Festival international de Nabeul se tiendra du 11 juillet au 20 août, avec au programme 19 spectacles de théâtre et de musique. En tête d'affiche figurent le chanteur lyrique Hassen Doss à la soirée d'ouverture, Lamine Nahdi (26 juillet), Nassif Zeitoun (28 juillet) et la diva Amina Fakhet (9 août) qui marque son retour sur la scène de plusieurs festivals. Dans une conférence de presse organisée mercredi soir à Nabeul par le comité d'organisation, le président de l'association «Animation et festivals», Montassar Kacem, directeur du festival, a tenu à relever que le comité organisateur a veillé à organiser les grandes soirées, comme celles d'Amina Fakhet, Nassif Zeytoun et le spectacle Ziara de Sami Lajmi au stade de Nabeul, en vue de permettre au plus grand nombre possible de festivaliers d'y assister. Le volet musical comporte également un concert de Hela Melki (13 juillet), suivi de Ziara. La clôture le 20 août se fera avec l'artiste Nour Chiba. Le programme des pièces théâtrales, qui démarrera le 16 juillet avec la pièce «Draga» de Bassam Hamraoui, comporte la présentation de la pièce de Wajiha Jendoubi «Madame Kenza en grève» (18 juillet), «Mahouch mawjoud» de Karim Gharbi (20 juillet), «Farka saboun 2» de Moez Toumi (22 juillet) et une pièce du Jeune théâtre de Nabeul le 24 juillet. Lamine Nahdi sera présent avec sa pièce «Makki wa Zakia» le 26 juillet. Le public aura rendez-vous également avec «Salem Monsieur» d'Amir Tlili (1er août), «Quelle famille» de Sadok Halouas (3 août), une pièce égyptienne (5 août), ainsi que le spectacle «Migalo sur la scène» (7 août). Le cycle des représentations théâtrales sera clôturé avec l'humoriste Jaâfar Gesmi dans «Trois en un». Les prix des tickets varieront entre 7 et 25 dinars. Selon le trésorier de l'association, le budget est de l'ordre de 500 mille dinars. Il a, dans ce sens, fait savoir que la subvention à l'échelle régionale demeure faible et celle du ministère des Affaires culturelles, qui est passée de 15 à 50 mille dinars, est cependant encore insuffisante pour aider le festival à réaliser ses équilibres financiers.