Fierté pour l'adoption par l'ONU de l'initiative du Président Ben Ali de proclamer 2010, Année mondiale de la jeunesse Souci de Mme Leïla Ben Ali, épouse du Chef de l'Etat et présidente de l'OFA, d'améliorer la situation de la femme arabe et africaine Les participants aux réunions sur "Le rôle de la femme et la société civile dans le développement de l'Afrique", tenues à Addis-Abeba (Ethiopie), ont exprimé leur admiration pour le système de développement en Tunisie qui constitue un modèle pour l'Afrique, notamment en matière de promotion de la femme et d'encadrement des jeunes. Mme Saïda Agrebi, présidente de la commission d'accréditation des ONG au Conseil économique, social et culturel de l'Union africaine et présidente de l'Organisation tunisienne des mères, a réaffirmé, à cette occasion, la fierté pour l'adoption par l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations unies de l'initiative du Président Ben Ali de proclamer 2010, Année internationale de la jeunesse, rappelant le succès de l'expérience tunisienne de placer 2008, Année du dialogue national avec les jeunes, expérience saluée par l'Union africaine qui a décrété 2009, année africaine de la jeunesse. Elle a mis l'accent sur les acquis réalisés au profit de la femme tunisienne, ce qui a permis de consolider ses droits et de renforcer sa participation dans la vie publique. Elle a souligné le souci de Mme Leïla Ben Ali, épouse du Chef de l'Etat et présidente de l'Organisation de la femme arabe (OFA), d'améliorer la situation de la femme arabe et africaine, évoquant les préparatifs pour la tenue en octobre 2010 en Tunisie du congrès de la femme arabe sur la contribution de la femme arabe dans le processus de développement durable. Ces réunions s'inscrivent dans le cadre des préparatifs de la 14e session du sommet africain, prévu le 25 janvier 2010 à Addis-Abeba (Ethiopie) sur le thème des technologies de l'information et de la communication en Afrique. A rappeler que l'Union africaine a placé la décennie 2010-2020 sous le slogan "La décennie de la femme africaine" en vue d'évaluer les programmes d'amélioration des conditions de la femme depuis la tenue du sommet de Beijing et d'œuvrer à atteindre les objectifs du millénaire, notamment en ce qui concerne l'égalité des chances entre les deux genres et la consolidation de la participation de la femme dans le processus économique et de développement.
