Les 17, 18 et 19 juin se déroulent les épreuves du diplôme de fin d'enseignement de base (général et technique). Plus de 31.000 candidats y participeront (environ 30.000 pour l'enseignement général et 822 pour l'enseignement technique). La proclamation officielle des résultats est prévue pour le 29 courant. A cet effet 311 centres pour les épreuves écrites ont été réservés pour l'enseignement général et 56 pour l'enseignement technique. Au menu les « généralistes passeront, le premier jour, la rédaction arabe de 8h à 10h et l'anglais de 10h30 à 11h30. Le mardi 18 sera réservé au français de 8h à 10h et aux sciences de la vie et de la terre de 10h30 à 11h30. La journée du mercredi sera consacrée aux maths de 8hà 10h00. Les candidats au diplôme technique, passeront, pour leur part, les mêmes épreuves aux mêmes horaires. Sauf pour la deuxième journée. La matière spécifique qui remplacera les SVT ce sont les sciences physiques. Plusieurs interdictions sont recensées dans les documents distribués aux candidats. On peut citer, par exemple, l'interdiction d'utiliser tout autre document que ceux remis au cours de l'examen. L'usage des correcteurs (blanco) ou de moyens technologiques comme les portables est, également, interdit. Toutefois les calculatrices non programmables sont autorisées. Les candidats sont tenus de se présenter suffisamment à l'heure munis de leurs convocations et de leurs cartes d'identité scolaires. On rappelle que le candidat n'a pas le droit de quitter la salle avant d'avoir remis sa copie et, au moins, trente minutes après le démarrage de chaque épreuve. Pour dissuader les participants, le ministère souligne la nécessité de se conformer strictement au règlement. Le respect des fonctionnaires chargés du déroulement des examens et de tout le personnel des centres d'examen est obligatoire. Cette infraction ou toute fraude ou tentative de fraude peuvent entraîner des sanctions allant de 1 an à 3 ans d'interdiction d'inscription à l'examen sans parler de la suppression de cette session pour le contrevenant. De plus, un élève incriminé risque, aussi, l'exclusion de l'établissement d'enseignement public.