Très mauvaise surprise pour un sexagénaire, propriétaire d'un débit de tabac, en constatant la disparition d'un stock de paquets de cigarettes, d'une valeur estimée à 1700 dinars, acheté la veille. Les serrures de la porte extérieure en fer et celles de la porte intérieure en bois ont été forcées par les voleurs. A signaler que ce débit de tabac est situé dans une rue très fréquentée de la ville non loin du boulevard de l'environnement. Le pauvre a déposé une plainte au poste de police et les voleurs sont encore en cavale.
Braqueur en état d'ébriété De retour à la maison, à une heure tardive de la nuit et en traversant une rue étrangement vide, un citoyen fut surpris par la présence d'un énergumène en état d'ivresse qui lui barra le chemin, et le frappa violemment à la tête avec un objet contondant avant de s'emparer d'une somme d'argent et quitter les lieux. Assommée par le douleur et l'impuissance, la victime s'est dirigée vers la poste de police pour informer les agents en permanence et déposer plainte contre son agresseur. Après ratissage des lieux les forces de l'ordre sont parvenus à arrêter les voleurs en flagrant délit, et encore en possession de la somme d'argent volée, qui fut remise à son propriétaire.
Un autre courageux voisin Dernièrement et dans l'obscurité des derniers instants, de la nuit un citoyen remarqua une activité inhabituelle devant la maison de son voisin. Il s'approcha des lieux et remarqua la présence des deux énergumènes en train de forcer les serrures de la maison. Il téléphona alors à son voisin qui dormait d'un sommeil profond et l'informa de la situation. A la sortie de ce dernier, les voleurs prirent la poudre d'escampette oubliant que les forces de l'ordre étaient déjà sur les lieux pour les arrêter en flagrant délit et en possession d'un sac plein de matériel utile pour ce genre d'opération.
A Jloula : Villa cambriolée Cette affaire est survenue dernièrement dans les vergers d'abricoliers de la paisible localité de Aïn Jloula. Les voleurs pénétrèrent dans la villa appartenant à un professeur exerçant dans la ville de Sousse pour s'emparer d'un butin estimée à 17 mille dinars. Le professeur en arrivant dernièrement à son village natal accompagné de son épouse et de ses enfants a trouvé sa villa sens dessus dessous : portes des chambres fracturées - téléviseur récepteur - des vidéos - des objets d'art - vêtements couvertures emportés. Bref... les vendeurs n'ont laissé que ce qui est intransportable et lourd. Le pauvre professeur qui a passé vingt longues années dans les pays du Golfe loin de son épouse et de ses enfants pour construire une belle villa et la meubler, n'a fait qu'alerter les agents de la garde nationale de la localité. Une enquête est en cours pour mettre la main sur les coupables.