Commençons par l'Equipe Nationale. Qu'en serait-il advenu de notre sélection représentative sans ce coup de pouce de l'arbitre égyptien qui n'a pas sanctionné une faute de main de Chermiti, accordant à la Tunisie un penalty inexistant et expulsant injustement le gardien burundi. Avec dix joueurs sur le terrain, notre adversaire s'est même permis le luxe de réduire le score réalisant une sortie honorable en terre tunisienne.
Programmation inappropriée La solidarité du grand Maghreb a joué grâce au trio d'arbitres égyptiens mais elle n'a pas fonctionné, comme cela a été d'ailleurs toujours le cas, entre FTF et supporteurs de l'Equipe Nationale ; sinon comment expliquer la programmation du match Tunisie - Burundi à 20h30, car au même moment il y avait un certain Pays-Bas - Russie attendu par toute la planète football. Le résultat est là à peine un peu plus de mille spectateurs perdus dans la grandiose enceinte du stade de Radès. Encore a-t-il fallu l'entrée gratuite des dames et des enfants de moins de 12 ans. Sans quoi, ils n'auraient pas été plus de cinq cents organisateurs et service d'ordre compris Programmer le match à 18h00 n'aurait sûrement constitué un crime. Mais allez le faire comprendre à nos décideurs. Ils trouvent toujours un alibi pour justifier cette programmation. Et, surtout que l'on ne vienne nous dire que c'était une décision de Roger Lemerre. Certaines autres rencontres se sont bien déroulées à 19h10.
Chermiti, l'apprenti tricheur Revenons à Chermiti pour dénoncer " cette main " laquelle n'était pas venue au bon moment pour inviter ses éventuels recruteurs à accélérer les pourparlers avec son club Il y a eu déjà cette morsure à pleines dents sur la poitrine de Bachtobji lors d'un certain Club Africain - E.S.Sahel à Tunis. Une image relayée par le journal allemand à grand tirage Bild. Deux gestes qui ne sont pas à l'honneur d'un joueur pétri de qualités et dont l'avenir pourrait être altéré par ce genre de comportement
Le geste inoubliable de Bilic Des trois derniers jours de la semaine écoulée, nous retiendrons l'image de l'entraîneur croate Bilic allant donner une longue accolade au Turc Thérin après la qualification de l'équipe nationale de Turquie aux demi-finales de l'Euro 2008, aux dépens justement de la Croatie Quand on sait la tournure prise par les événements alors que les Croates avaient presque les deux pieds dans le carré d'as, personne dans le stade ni devant les téléviseurs ne s'attendait à pareil geste de magnanimité . Une leçon à retenir.