* La tentation de l'argent facile * Une carte grise falsifiée Un caissier d'un supermarché de la Capitale a remarqué qu'un billet de vingt dinars présentait des anomalies au toucher. Au moment de commencer à faire des vérifications, le client prit la fuite. L'alerte a été donnée par le caissier et l'apprenti faussaire a été appréhendé. Il a été conduit à la police où l'expertise immédiate a montré qu'il s'agissait bien d'un faux billet. Le jeune homme incriminé a affirmé qu'il avait scanné lui-même le faux billet et que c'était sa première tentative. Le scanner a été saisi et une enquête a été ouverte pour vérifier si le bonhomme était vraiment seul dans cette action ou s'il s'agissait d'une ramification d'un réseau de faussaires.
La tentation de l'argent facile Un guet-apens a permis aux agents de police d'arrêter en flagrant délit un vendeur clandestin de vin à la Goulette. Il s'agissait d'un vieux récidiviste de 67 ans qui n'avait pas trouvé mieux que de servir les amoureux de la dive bouteille par ces temps de chaleur. Les agents lui ont tendu un traque-nard en lui faisant croire qu'ils étaient des adeptes de Bacchus et qu'ils voulaient s'approvisionner. Ils n'ont pas manqué de l'informer que son collègue d'à côté n'avait plus de provision. Méfiant tout de même, le vieux était récalcitrant au départ. Mais, il a été mis en confiance par les belles paroles des agents et leur a demandé d'attendre. Il était revenu quelques minutes plus tard avec la marchandise demandée. Les agents lui avaient alors décliné leurs identités et l'ont arrêté en flagrant délit. Il a été traduit devant la justice et a écopé de dix-huit mois de prison ferme.
Une carte grise falsifiée Une vérification de routine effectuée par une patrouille de la police de circulation du côté de l'entrée de la ville de Béja a dévoilé un réseau de falsification de cartes grises. En effet, les agents ont constaté un dégagement intense de gaz et demandé au chauffeur d'ouvrir le couvercle du moteur. Ils ont soupçonné une manipulation du réservoir. Au passage, ils ont vérifié le numéro du châssis et remarqué qu'il n'était pas conforme à celui de la carte grise. La voiture a été saisie et une enquête a été ouverte. L'historique de la bagnole a été retrouvé au service des mines. Il put ainsi prouver que son dernier propriétaire venait tout juste de l'acquérir et que c'était plutôt le précédent acquéreur qui serait à l'origine de la falsification. L'enquête suit son cours.