La parution de la lettre de lecteur sous le titre " Le ridicule ne tue pas, n'est ce pas M. Ayari " a entraîné deux réactions. L'une émanant de l'auteur de ladite lettre, l'autre de Mohamed Yasser Lourimi. Lequel écrit : " Je tiens à vous préciser que M. Mourad Ayari n'est pas clubiste. Au contraire, c'est un espérantiste de pure souche comme M. Khalsi. D'ailleurs je ne connais aucun journaliste sportif clubiste dans votre journal, il suffit de lire les commentaires de M. Khalsi pour comprendre le pourquoi car un clubiste est démocrate de nature ".
Quant à M. Mekki Rebaî, il écrit " merci beaucoup pour cette publication, même si j'aurais préféré en être informé d'avance. Je ne suis nullement convaincu par la NDLR mais je respecte cependant le point de vue développé. Merci encore pour tous vos efforts et bonne continuation ". NDLR : Merci de nous lire et de nous critiquer. Et c'est d'autant plus réjouissant qu'à force de nous lire nos lecteurs peuvent allègrement " fantasmer ". D'où notre cher lecteur, Mohamed Yasser tient-il pour espérantiste, un Interiste viscéral ( eh oui, l'Inter de Milan !), comme notre collègue Raouf Khalsi ?
Et qu'est ce qui lui fait dire que Mourad Ayari est espérantiste ? A moins d'être un objecteur de consciences, M. Mohamed Yasser (lui, sérieusement clubiste, ça se voit) doit comprendre qu'il y a une telle profusion de commentaires " contradictoires ", sur nos pages, tellement d'espaces réservés à tous les clubs, et tous traités, sur un pied d'égalité, que les sportifs, les vrais, nous reconnaissent une impartialité sans failles... en conformité avec les principes fondateurs de notre démarche journalistique : précision, crédibilité, impartialité, intégrité intellectuelle. Pour le reste, il est normal qu'un " sportif " lecteur du " Temps " veuille se reconnaître dans nos écrits